Children of the night
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 Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)

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elizabeth Marshal


elizabeth Marshal


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MessageSujet: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeVen 16 Avr - 22:22

Andrew semblait surpris par la réponse de la frêle humaine . Elizabeth elle se sentait toujours aussi chamboulée et ses joues ne semblaient pas vouloir perdre leurs rougeur . Un long silence prit la place des douces paroles de l’écrivain, le calme ne dura pas bien longtemps que déjà le brun ouvrit la bouche pour articuler de gracieuses paroles .


-Et bien c’est une théorie intéressante, mais le danger ne vous effraie-t-il pas ? Quant bien même j’aurais été un vampire, j’aurais pu aisément vous mordre, mais vous n’avez daigné bouger, serait-ce par surprise ou bien simplement parce que vous ne m’en croyiez pas capable ?

Elizabeth cogita un moment , que pouvait elle bien dire ? « C’est votre charme élégant monsieur qui m’empêchait de bouger » rien qu’à cette idée la jeune fille rougissait , elle qui était si timide comment pourrait elle dire ça ? Andrew fit teinter son rire cristallin dans l’obscurité , le silence reprit sa place entre les deux jeunes gens . L’écrivain semblait observer Elizabeth , celle-ci détourna le regard honteuse qu’un homme de cette qualité puisse trouve un quelconque charme chez elle .
Le brun afficha un rictus chaleureux , le charmant jeune homme lui tandis de nouveau son bras , ouvrant de nouveau ses mâchoires pour articuler quelques mots .


- J’en serais ravie Elizabeth.

Elizabeth prit timidement le bras de son interlocuteur . Le rythme de son cœur s’accéléra un peu plus , il marchèrent le long des rues peut fréquentable dans un silence reposant et apaisant . Andrew porta sa main a se bouche cachant poliment ses toussotement , la londonienne l’observa non sans etre quelque peut surprise .


-ce n’est rien ma chère, ne vous en faite pas. Il arrive bien souvent que je m’étouffe moi-même de mon manque de parole. Egalement, et surement d’ailleurs, le fait de vous avoir approché d’aussi près qui me déstabilise fortement. Ne sous estimé pas votre charme mademoiselle, vous êtes bien au-delà de ce qu’il est capable de faire.

Elizabeth rougit une énième fois , jamais de sa vie on ne lui avait fait autant de compliment en une après midi ! L’humaine regarda ses pieds , voulant éviter le regard de cet attirant personnage qu’était Andrew.
-
-Merci pour tous ces compliments , bien que je ne sois pas sur de les mériter . Je fais bien pâle figure a coté de vous monsieur , et il est vrai que les gens de haute qualité ont tout a vous envier .

Le cœur de la jeune fille s’emballa . Elizabeth porta une main a sa poitrine comme pour ordonner a son cœur de bien vouloir cesser ses battements impulsifs . Les jeunes gens continuèrent leur plaisante conversation , l’écossaise ne porta pas une grande attention au brui familiers des ruelles de White Chapel , quelque chat de gouttière passaient près des ordures cherchant de quoi se restaurant , côtoyant les fille de joie et les
hommes ivres .

Elizabeth arrivait enfin devant la lourde porte de son immeuble peu enviable . Elle observait le fenêtre qui donnait sur sa petite chambre de bonne ,elle regrettait parfois de ne pas avoir accepté l’argent que ses parents lui avait gentiment proposé .
-

Et bien monsieur voici mon pauvre logis , un homme de votre qualité ne devrait pas prendre la peine d’entrer .

Elizabeth avait bien honte devant le brun , elle espérait quelque part qu’il entre mais Andrew , un homme de se rend sociale ne prendrais surement pas la peine d’entrer dans un tel logis , si l’on pouvait appeler sa un
logis . L’humaine porta ses clefs a la grande serrure qui la mènerait devant sa chambre minuscule . La porte s’ouvrit dans un grincement effrayant . Le jeune fille posa un talon sur le sol en damier délabrait montant les escalier de pierre d’un pas léger et rapide .
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Andrew Black


Andrew Black


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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeVen 16 Avr - 22:59

Ma petite ingénue semblait réfléchir à mes propos, ce que je trouvais remarquable. Les humains font abstraction de ce qui les entoure en général lorsqu’ils réfléchissent. Elizabeth n’était pas une exception, cependant ses propres pensées faisaient accélérer son cœur. Ma curiosité sur ce qu’elle était en train de penser justement l’emportait et malgré le fait que la proximité entre elle et moi soit raisonnable, les sursauts de son cœur ne firent qu’accentuer ma soif, d’autant plus que j’avais déjà gouté à sa chair en faisant preuve d’une grande indulgence pour ne pas l’avoir mordu gentiment durant le court baisé que je lui avais infligé. Ma gorge se serra, j’étouffais presque de la frustration qu’exerçaient ces battements sur ma propre existences, et comme si cela ne suffisait pas, le vent souffla lentement, laissant l’odeur sucré du parfum de ma chère amie voguer jusqu’à moi.

Ma prétendu toux ne fit que s’accroitre alors que je tentais tant bien que mal de ne pas la laisser visible. Ayant retrouvé un minimum de sérénité, j’écoutais attentivement les paroles de ma jeune amie. Elle était encore hésitante sur l’effet que produisait son unique personne sur mon existence, ou peut être ne l’avait-elle pas remarqué ? Quoi qu’il en soit je ris doucement, presque à m’en étouffer de nouveau, du moins c’est ce que la jeune Elizabeth croyait et ce que je voulais bien lui laisser croire. Je repris mon souffle, soupirant. Que c’était bon de pouvoir contrôler à merveille chaque parcelle de son corps, chaque mouvement, chaque regard de mon existence afin de mieux tirer les ficelles pour amener où je le désirais mon pantin. Mais loin de moi l’idée de considérer Elizabeth comme tel, elle était bien trop estimable à mes yeux pour que je puisse la laisser douter ainsi de sa valeur.


"Vous doutez encore n’est ce pas ? Et vous ne le devriez pas. Encore est-il que mon statut ne fait pas non plus le personnage que je suis demoiselle. Il est tout à votre honneur de faire preuve d’autant de modestie, et il est donc justifié que je vous considère comme une jeune femme digne et complètement inégalable par nulle autre jolie jeune femme."

Mes compliments l’affectaient et j’en étais parfaitement conscient. Bientôt le silence reprit le dessus et j’étais presque lassé de n’entendre nul bruit provenant de ces rues, mis à part peut être les chats, les gouttes d’eaux provenant des gouttières mal nettoyées ou encore du vent qui me sifflait presque dans les oreilles. Nous arrivâmes bientôt à l’endroit convenu, White Chapel, domicile de ma chère petite victime. Je parviendrais à mon but dans un cours instant, et l’excitation de la durée courte qui me séparait de cette destinait s’emplissait à mesure que nous montions les marches. Je me tus, écoutant de nouveau la douce voix de la jeune demoiselle.

"Bien souvent les plus nobles des êtres se trouvent dans les plus modestes demeures, alors ne vous formalisez pas, vous êtes tout à fait remarquable à mesure que je vous découvre. Vous n’avez non plus pas à avoir honte de vous-même ou de votre demeure, je suis flatté de pouvoir y entrer, mais pardonnez moi. Me permettez vous justement de vous suivre jusqu’à votre chambre ? Je n’oserais jamais vous faire l’affront d’y entrer sans une réelle parole de votre part."

Je me tus, hésitant à prendre la parole pour jouer mon rôle de Don Juan. Il fallait que j’entre et que je montre un peu plus d’affection à l’égard de cette personne mystérieusement attirante. Je me devais d’entrer mais ne casserais-je pas l’image et l’envie qu’avait Elizabeth de me connaître moi-même si je me mettais à obéir à mon instinct ? Je serais certes capable de rattraper la chose en quelques secondes, mais il était bien imprudent de ma part de vouloir aller trop vite. Cependant, j’avais plus d’un tour dans mon sac et une fois de plus il pourrait s’agir d’un nouvel atout dévoilé aux yeux de ma proie qui pourrait l’attirer d’une nouvelle manière. Je décidais donc de tenir le rôle.

"Elizabeth…pardonnez mon audace, mais depuis notre rencontre je n’ai cessé de penser à ce qu’il s’est produit en moi à l’instant même ou je vous ai vu. Vous exercez sur moi un charme dont j’ignore le remède et cela me hante depuis. Comment faites vous donc pour que mon cœur, mon âme tout entière ne désirent que votre sympathie, votre bon plaisir et votre bonheur ? Je ne veux qu’une seule chose : vous satisfaire. Ordonnez et j’exécuterais."

Mes prunelles ne pouvez tromper nulle personne, le cœur y était partiellement, signifiant tout autre chose que ce que je venais de dire, mais après tout le mensonge contribue à la vérité elle-même, et bientôt, je serais en mesure de pouvoir parvenir à mes fins. Il suffisait de quelques instants encore, le temps qu’elle réagisse à mes paroles.


Dernière édition par Andrew Black le Sam 17 Avr - 1:10, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeVen 16 Avr - 23:06

Andrew accompagnait l’humaine , suivant patiemment ses pas , gravissant les lourdes marche de pierre qui servait d’escalier à la demeure. Il semblait attendre une quelconque parole de Elizabeth , la petite humaine avait oublier de l’inviter a monter , il est vrai que l’on ne serait trop quoi faire dans ce genre de situation.

-Vous doutez encore n’est ce pas ? Et vous ne le devriez pas. Encore est-il que mon statut ne fait pas non plus le personnage que je suis demoiselle. Il est tout à votre honneur de faire preuve d’autant de modestie, et il est donc justifié que je vous considère comme une jeune femme digne et complètement inégalable par nulle autre jolie jeune femme.

Elizabeth écoutait attentivement sont interlocuteur parler , la voix de celui-ci l’apaisait et elle ne voulait pas perdre une miette de ce gracieux son . La brune tourna son visage rougit en direction de l’écrivain , Andrew se tus laissant le silence reprendre sa place initial . Cependant il reprit vite la parole , observait de près par sa jeune amie Elizabeth.

-Elizabeth…pardonner mon audace, mais depuis notre rencontre je n’ai cessé de penser à ce qu’il s’est produit en moi à l’instant même ou je vous ai vu. Vous exercez sur moi un charme dont j’ignore le remède et cela me hante depuis. Comment faites vous donc pour que mon cœur, mon âme tout entière ne désir que votre sympathie, votre bon plaisir et votre bonheur ? Je ne veux qu’une seule chose : vous satisfaire. Ordonnez et j’exécuterais.

Le cœur de la frêle jeune fille s’emballa pour ne pas changer les bonnes habitudes .Le regard du brun était chaleureux , il n’inspirait aucune crainte à la demoiselle . Puis le bonheur fit place à la surprise comment pouvait-elle réagir ? Elizabeth semblait toute chamboulée par ses douce paroles .

-E-et bien merci pour ces compliments , suivez moi donc je vais vous montrer mon humble demeure .

Elizabeth plongea de nouveau la main dans son sac sortant un petit trousseau de clef . Elle porta une de celles-ci à la serrure donnant un coup de genou dans la porte rebelle pour qu’elle veuille bien s’ouvrir . La pièce était assez étroite mais joliment décorée , une table de on ne sait quel bois trônait au milieu de la pièce , quatre petites chaises entourer celle-ci . Quelques tableaux trainaient par-ci par là et deux autres porte qui mener surement à la chambre et la salle de bain étaient encastrées dans le mur .

-Voici le lieu où je vis cher monsieur .

La pâle humaine se dirigea vers la petite cuisinière posant délicatement une casserole sur l’ustensile de cuisine .

-Accepteriez vous de boire le thé en ma compagnie ?

C’est en plongeant ses yeux or dans ceux de son invité que la jeune fille attendit patiemment la réponse de son bel interlocuteur .
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Andrew Black


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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeVen 16 Avr - 23:12

J’entrais dans la demeure de ma victime, magnifiquement surprise par mes paroles. Mon regard impassible la transportait littéralement, elle pouvait y voir un visage tendre sans que je n’y fasse quoi que se soit et m’ouvrit sur des remerciements la porte de son domicile. Il s’agissait d’une petite pièce, ne manquant pas cependant d’être charmante tout à l’image de sa détentrice. Il y eu un instant ou je ne pu contenir un toussotement, espérant que mes canines ne se voient pas, j’avais à peine eu le temps de placer ma main sur mes lèvres. Mes yeux étaient d’un vert presque étincelant sous les rayons de lunes filtrant à travers les rideaux de tissus blancs et fins. Ils m'évoquaient étrangement ce que je n’avais jamais connu : le bonheur d’avoir une famille. Bien entendu j’en avais eu une mais le fait est que la glace avec laquelle nos cœurs étaient constitués ne nous permettait pas d’être affectueux entre nous. Je m’approchais lentement de ces rideaux, les prenant lentement pour les faire glisser entre mes doigts gracieusement.

Elizabeth me posa une question, à laquelle je levais le regard plus vite qu’elle n’aurait pu s’y attendre et laissa mon visage esquisser un malheureux sourire, bien que suffisant aux yeux de la petite humaine. Il était important de jouer le jeu, mais ô combien difficile d’assumer le rôle chaque semaine. J’avais envie de mettre un terme à ma vie de solitaire et adopter une compagne qui sache parfaitement me comprendre. Cette jeune femme, inconnue à mes yeux, du moins jusqu’à ce que nous nous rencontrions, avait su en cette unique journée de côtoiement percer à jour ce que chaque vampire rêve qu’un individu comprenne même s’il lui fallait des années. Aussi je laissais échapper un soupire de satisfaction, mais également du à la torture qu’exerçait ce détail sur ma personne. En effet, d’un côté je ne pouvais retirer la vie à une innocente et bien modeste demoiselle, d’un autre, mon désir d’être le premier vampire réellement satisfait me tiraillait.


"Oui j’accepte avec plaisir"

Ses yeux étaient plantés dans les miens, me submergeant de remords. Pourquoi avais-je choisis cette jeune femme et pas une autre ? Pourquoi m’avait-elle envouté de ses atouts irrésistibles qu’elle ne soupçonne même pas ? Je me mordis la lèvre instinctivement, m’approchant à pas de loup de la jeune demoiselle pendant qu’elle plaçait une casserole. Devais-je le lui révéler ? Ou bien attendre ? Un jour de plus pour un immortel n’était pas un problème, cependant en un jour il pouvait se passer mainte et mainte choses. Cette nuit je veillerais autour de chez elle dans l’ombre, afin qu’on ne me la dérobe pas. Mais il serait tellement plus simple de lui avouer…

"Dites moi Elizabeth…que diriez-vous…si je vous répondais que j’étais un vampire ?"

J’avais murmuré ces phrases dans son cou, proche d’elle sans pour autant la toucher, j’étais derrière elle comme une ombre mais pas terrifiant non, juste surprenante. Je l’avais effectivement faite sauter en parlant de cette manière mais également en étant à cette distance d’elle-même. Cependant, elle n’avait pas pour autant bougé. Mes mains derrière mon dos, liées entre elles témoignaient de mes intensions justes envers ma charmante compagne. Ma gorge se serra davantage comme pour me prévenir que cette fois-ci, je ne pourrais pas résister à la tentation de la mordre. L’une de mes mains passa sous le bras de ma jeune amie, insérant des feuilles de thés que soigneusement placées dans un pot. L’autre main en coupa quelques unes pour les déposer dans la casserole contenant de l’eau chaude. Elizabeth était tétaniser par mes gestes qu’elle ne pouvait prévoir et pourtant dont elle n’avait nullement peur. Je me demandais alors pourquoi est ce qu’elle était si confiante envers moi et lui posa la question afin de m’assurer que ce n’était pas ce que j’avais en tête.

"Pourquoi…me faites-vous autant confiance Elizabeth ?"

Je manipulais les ustensiles tout en lui parlant, mes bras autours de sa taille sans les avoir posé pour autant. Une fois le thé fait, j’attendis sans bouger, les mains appuyées docilement de part et d’autre de la cuisinière, attendant qu’elle se retourne et qu’elle daigne enfin affronter mon regard. Bien évidemment j’étais sérieux et pour une fois mon cœur aurait raté quelques battements, ma soif était en train de me rattraper et je luttais du mieux que je pouvais pour paraître serein et le plus tendre qu’il m’était permis de l’être. Mon souffle dans son cou était témoin de mon anxiété réelle cette fois ci. Je ne jouais pas la comédie, j’avais besoin de savoir comment elle réagirait face à moi en tant que vampire, en tant que celui que je suis réellement, un buveur de sang à la recherche d’une âme généreuse capable de faire arrêter scs tourments et ces supplices.


Dernière édition par Andrew Black le Sam 17 Avr - 1:17, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeVen 16 Avr - 23:16

Le charmant jeune homme c’était dirigé vers le ridau qui abritait la fenêtre des regards indiscrets , il avait saisi le tissu entre ses doigts et l’avait relaché gracieusement quelques secondes plus tard . Andrew releva vivement la tête quand il entendit les paroles de la jeune Londonienne qui fut surprise par le temps de réaction de l’écrivain . Le brun esquissa un ravissant sourire qui fit une fois de plus palpiter le cœur de Elizabeth .

-Oui j’accepte avec plaisir

La jeune fille s’afféra alors a sa tache sortant un étui sur lequel on pouvait lire l’inscription suivante : « thea » . La frêle humaine souleva le couvercle et atrape quelques feuilles de thé entre ses doigts . Le jeune ecrivain semblait préocupé , il sortit finalement de ses pensés pour adresser la parole a sa douce interlocutrice .


-Dites moi Elizabeth…que diriez-vous…si je vous répondais que j’étais un vampire ?

Elizabeth devisagea son invité un instant . Pourquoi cette question ? Pourquoi si soudainement ? La jeune fille ne le savait pas , elle baissa alors les yeux sur sa casserole réflèchissant quelques secondes .Apparement les subtiles paroles du jeune homme venaient de derrière la naive jeune fille . Andrew était proche d’elle , il se tenait la sagement dans son ombre sans etre effrayant pour autant . les joues de Elizabeth était rosée , le fait que un si bel homme se tienne aussi près d’elle la troublait . L’humaine jeta un coup d’œil à son invité , ses mains était fermement liées dans son dos temoignant une quelconque hésitation . Le brun se decida finalement , il plaça une de ses mains sous le bras d’Elizabeth atrapant quelques feuilles de thé les decoupant soigneusement avant
de les déposer dans la casserol . La jeune fille ne pouvait pas prévoir ses gestes mais ce mystère n’était pas térrifiant , la Londonienne observa les magnifiques mains DE l’ecrivain , sa peau ne comportait aucun défault et était d’une pâleur sans nom .


-Pourquoi…me faites-vous autant confiance Elizabeth ?

Andrew continuait de manier les ustanciles d’un manière habile tout en adressant la parole a son interlocutrice . Celle-ci était tétaniser , qu’allait-elle répondre ? Elizabeth ne savait pas si elle pourrait afronter le regard du jeune homme . Une fois sa besogneu fini Andrew posa ses mains sur le plan de travail , encadrant la taille d’Elizabeth sans pour autant la toucher .
L’humaine se decida enfin a se retourner vers le brun , son cœur battait la chamade .

-Et bien premièrement si vous étiez un vampire , j’aurais de la compassion , non pas de la pitié mais bel et bien de la compassion pour un être aussi seul au beau milieu d’autre personne qui ne le comprennent nullement . ET en ce qui concerne la confiance que je porte en vous …je-je ne pourrais pas l’expliquer , mais votre façon d’agir , votre regard , vos manière m’incite a placé une confiance aveugle en votre personne .
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Andrew Black


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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeVen 16 Avr - 23:18

Sans daigner bouger, je savais qu’Elizabeth m’écoutait attentivement. Elle me laissait faire, comme envoutée par chacun de mes gestes, chacune de mes paroles et je dois avouer que je prenais un malin plaisir à la voir dans cet état. Non pas que l’immobilisation du à sa peur me fascine, mais plus que ses traits magnifiques conservaient toute la magnificence de sa personne. Le silence fit son apparition de nouveau, et j’en savourais chaque seconde passée. Qu’elle était belle quant-elle était terrifiée, du moins c’est ce que j’avais l’impression d’évoquer à son égard. Mais je me rendis vite compte que la proximité que j’avais établie entre nos deux corps était la seule gêne pour la demoiselle. Je posais finalement mes mains tout aussi délicatement que tous les mouvements que j’avais effectué en sa présence jusqu’à ce moment. Elle se retourna lentement, le temps de réfléchir surement comment affronter mon regard et me répondit sans la moindre hésitation, en me regardant dans les yeux comme jamais personne n’avait osé le faire.

Je ne pus m’empêcher de sourire. Cette petite créature insignifiante, sans défense face à moi avait été la seule parmi toutes les races qui avait pu me défier, à soutenir mon regard ainsi que la parole. Avais-je finalement eut raison de la laisser vivre ? Je le crois fortement étant donné les circonstances. De plus, les préjugés sur les sangs froids étaient devenus une pensée de masse, mais elle échappait à la règle et qui plus est n’avait pas entièrement tort dans son raisonnement. Elle avouait enfin, alors que je sentais son cœur battre et son sang circuler dans ses veines. Je me retins de tousser sans qu’elle ne puisse le voir et approchais davantage mon visage du sien pour la déstabiliser un peu plus. Le fait qu’elle ait confiance en moi pour ce qui fait de ma personne un vampire m’intriguais, par la même occasion j’avais le pressentiment qu’elle me faisait entièrement confiance parce qu’elle savait pertinemment que je n’oserais jamais lui faire offense.


"Chère Elizabeth, Vous êtes inconsciente de dire cela, mais sachez que vous me flattez. Je vais sans doute…vous paraître différent, qui sait, vous effrayer peut être ? Mais j’espère que vous tiendrez compte de cette dernière parole : peu importe ce que je suis, et la manière dont je vous persuaderais de ma nature, il n’y a qu’une chose dont vous pourrez être certaine, je ne vous ferais aucun mal. Vous pourrez me disputer, porter la main sur moi, m’en vouloir jusqu’à la fin de vos jours, mais cela ne changera rien. Que vous me détestiez, ou me craignez, que vous m’adoriez ou m’aimez ? Que sais-je…vous ne cesserez pas de hanter mes pensées par votre comportement si différent et irrésistible à la fois. Merci pour tout…"

Tout en prononçant ces paroles, j’avais approché habilement mes canines de son cou, déposant quelques baisés comme précédemment, à la différence que je portais l’une de ses mains en la faisant glisser dans l’une des miennes jusqu’à ma bouche, lui souriant à pleine dents avec mon véritable sourire. J’étais un vampire, je ne m’en cachais plus à présent et espérais au plus profond de mon être qu’elle ne me fuirait pas. Elle avait été jusqu’ici la seule à faire grandir en moins une curiosité invraisemblable et perdre cela me procurerait sans même avoir eu droit à sa réaction, une peine immense et une frustration extrême. Je cessais mes baisés papillons, repositionnant mon visage face au sien en lui montrant mes dents sans lui faire peur.

"Vous qui rêviez que ces créatures mythiques existent, voila la preuve que vous aviez raison. Vous qui avez fait chavirer mon être à tel point que j’en vienne à vous révéler ce que vous mouriez d’envie de connaître, voila votre présent. Elizabeth, ne me rejetez pas…calmez vous, je vous ais prouvé que je ne vous mordrais pas…"

Ce devait être plus qu’angoissant de se retrouver nez à nez avec ce que l’on admire et que l’on rejette à la fois. Etant né vampire, je ne connaissais pas cet effet jusqu’à ce que je la rencontre, elle, cette femme dépourvue de force, dépourvue d’intelligence, bien sur je parle en terme vampirique, mais voila qu’elle me fait face, tout ce dont je rêvais sans même en soupçonner l’existence, elle était là. Mon regard ténébreux cependant non agressif ne lui demandait que grâce de ne pas me rejeter.


Dernière édition par Andrew Black le Sam 17 Avr - 21:32, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeVen 16 Avr - 23:22

( pas trè long non plus )

Un silence s’installa pendant quelques secondes entre les jeunes gens avant que Andrew ne se décide a fait mouvoir ses lèvres .

- Chère Elizabeth, Vous êtes inconsciente de dire cela, mais sachez que vous me flattez. Je vais sens doute…vous paraître différent, qui sait, vous effrayez peut être ? Mais j’espère que vous tiendrez compte de cette dernière parole : peut importe ce que je suis, et la manière dont je vous persuaderais de ma nature, il n’y a qu’une chose dont vous pourrez être certaine, je ne vous ferais aucun mal. Vous pourrez me disputer, porter la main sur moi, m’en vouloir jusqu’à la fin de vos jours, mais cela ne changera rien. Que vous me détestiez, ou me craignez, que vous m’adoriez ou m’aimez ? Que sais-je…vous ne cesserez pas de hantez mes pensées par votre comportement si différent et irrésistible à la fois. Merci pour tout…

La jeune demoiselle ne put s’empecher de rougir biensur les seuls sentiment qu’éprouvaient Elizabeth envers l’écrivain n’étaient que bon , jamais il ne pourrait l’effrayer comme il le disait , jamais il ne pourrait lui paraitre différent si ce n’est du fait de son caractère doux et paisible . Le beau brun avait aproché ses lèvre près du cou de l’humaine déposant des baisers tous aussi douc pour la frêle jeune fille que précèdement . Il porta une main de la brunette à sa bouche à la difference cette fois-ci qui’il étala un grand sourire toujours aussi charmant cependant Elizabeth posa sont regard sur les canine du bel âtre , celles-ci étaient anormalement longue et efilées un frisson parcourut l’échine de la naïve demoiselle. Andrew se redressait plaçant son visage à la même hauteur que celui de son interlocutrice quelque peut surprise ne cachant plus le fait qu’il soit une de ces créature de mythe dont rafole la londonienne . Cependant , un sentiment étrange parcourait la jeune fille , un mélange de peur d surprise et surtout de fascination .


- V-vous êtes un vampire ?

Question plutôt stupide de la part de Elizabeth . La jeune humaine porta sa main vers les canines de Andrew non sans quelques tremblement . Elle hesita finalement puis effleura les canine du nosferatus du bout de son index .


-Vous qui rêviez que ces créatures mythiques existent, voila la preuve que vous aviez raison. Vous qui avez fait chavirer mon être à tel point que j’en vienne à vous révéler ce que vous mouriez d’envie de connaître, voila votre présent. Elizabeth, ne me rejetez pas…calmez vous, je vous ais prouvé que je ne vous mordrais pas…

L’humain observa longuement le vampire , ne savant trop quoi retorquer a l’individu . Elle avait peur elle devait bien l’avouer , mais la confiance qu’elle plaçait en Andrew n’était pas négligeable . La jeune fille plaça sa main droite sur la joue du pâle aristocrate un sourir charmant sur les lèvres .

- J-je ne pourrais jamais vous rejeter , même si j’avais les meilleurs raison du monde .
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Andrew Black


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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeVen 16 Avr - 23:27

Elizabeth ne réagit pas immédiatement, elle resta longuement à me contempler comme tous les autres, à l’exception qu’elle venait d’entrer dans mon monde. J’avais porté l’une de ses mains à ma bouche, lui montrant ce qui me servait à manger, et elle avait prononcé sans même réfléchir mon appartenance, ma race. Etonnement elle l’avait plus laissé échapper d’un air stupéfait que par peur, même si je l’avais peut être effrayé au départ. J’avoue m’être attardé sur son cou pour gagner du temps près d’elle, comme pour encrer dans ma mémoire chaque instant passé avant de lui avoir dit la vérité. Mais à ma plus grande surprise, elle porta sa main sur mes canines. Mon cœur, s’il avait fonctionné un jour se serait mis à battre jusqu’à m’en rompre la cage thoracique, mais à mon plus grand désespoir, il ne le pouvait pas. Je retenais cependant ma respiration, de peur qu’elle ne se blesse si près de ma bouche, et lui lança un regard malheureux, entremêlant mes doigts aux siens pour éviter cela, tout en la laissant toucher.

"Veuillez excuser mon geste, mais je tiens à votre personne et le fait est que vous risqueriez de vous blesser, voir d’animer mon entrain pour votre sang ma chère…"

J’essayais d’esquisser un sourire et pour la première fois regrettais de ne pas avoir été d’une lignée moins respectueuse, cependant, je n’aurais pas pu l’approcher si je ne l’avais pas été. Cruel destin qui finit toujours par m’inspirer la tristesse ! Je la voyais observer davantage chaque détail de ma personne, comme si le fait qu’elle apprenne ma lignée soit un élément qui ne paraissait pas, un élément auquel elle n’aurait pas fait attention. Mes yeux, puis ma bouche, tout y passait, jusqu’à même la manière dont je tenais sa main. Elle rougit, remarquant que j’observais et suivais également son regard, mais ne pouvais offrir qu’un sourire en guise de réponse. Je repensais à ma façon de la regarder lorsque je faisais des suppositions concernant les buveurs de sang, et me rendis compte que j’avais bien trouvé au départ une personne banale en la voyant, seulement j’étais loin de me douter de sa pensée. L’humain est souvent stupide et sans idée réellement propre à lui-même, il préfère les préjugés et les idées de groupe. Elle, elle était différente, elle affichait clairement une similarité et pourtant adoptait un comportement, un raisonnement qui me dépassait moi et mes contemporains hommes. J’avais décidément beaucoup à apprendre encore, et ne m’en formalisais pas.

Elle posa sa main sur ma joue, me regardant tendrement, et pour une fois ce ne fut pas le roi qui fascinait le sujet, mais le sujet qui envoutait le roi. Elle ne pourrait jamais, ces mots se répétaient en écho dans ma tête. Elle était si douce et je me sentais si faible, j’appréhendais le moment ou je serais capable de lui faire mal, j’étais outré de me rendre compte qu’un gouffre séparait nos deux mondes et que pourtant elle était seule maîtresse de mon âme toute entière. Oui, je crois bien qu’en cette seule soirée, j’avais eu ce que l’on prénomme « coup de foudre » pour cette personne aussi ridicule soit-elle et pourtant dont je dépendais totalement…


"Elizabeth…ne dites pas ça…si jamais je venais à vous faire du mal, vous ne m’en tiendrez pas responsable. Vous n’avez pas idée de ce que cela signifie pour moi, et je suis indigné par cette différence qui nous sépare et horrifié à l’idée de ce que cela engendre. Si jamais par ma faute, il devait vous arriver quoi que ce soit…je vous en pris…ne me dites pas que je ne dois pas m’en vouloir."

Ma main vint caresser sa joue frêle et fraiche, que je sentais si douce et imparfaite comparée aux autres vampires, mais cela me ravissait d’être épris d’une femme, une femme dotée d’un cœur et imparfaite, car la perfection m’ennuyait. Je craignais alors qu’en la transformant, si j’arrivais à obtenir son accord, elle ne change, mais…pourquoi changerait-elle ? Le choque de devoir se nourrir de sang peut être ? Pour elle j’y renoncerais s’il le faut, pourvu qu’elle ne se laisse pas périr. Si j’en venais à la mordre, ne serais-je pas un monstre de lui ôter sa précieuse vie humaine pour la transformer en ce monstre incorrigible que je suis ? Une madame Black, serait-ce judicieux de ma part que de risquer de la perdre en la mordant, de perdre tout ce que j’aime chez cet être aussi modeste et ravageur soit-il ?


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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeVen 16 Avr - 23:30

Andrew lança un regard triste a Elizabeth celle-ci fut intriguée mais avantt qu’elle n’ai put ouvrir la bouche le vampire il entremela ses doigts a ceux de la jeune fille la laissant observer ses canine surdimensionnées.

-Veuillez excuser mon geste, mais je tiens à votre personne et le fait est que vous risqueriez de vous blesser, voir d’animer mon entrain pour votre sang ma chère…

Le jeune homme semblait pourtant étrange comme pensif , le regard lace et triste . Elizabeth avait beau chercher au plus profond de ces magnifiques yeux émeraude aucune raison ne lui venait a l’esprit pourquoi le nosferatus paraissait il si amer ? Au fond d’elle la frêle humaine ne savait pas ce qu’elle devait faire , courir chercher de l’aide ou succomber au charme de Andrew . Son cœur batait la chamade et ses pensées étaient brouillée , flou ,cherchant le geste la chose qu’elle devait faire sans importuner le jeune homme et en respectant l’éducation que ses parents lui avaient fourni .

-Elizabeth…ne dites pas ça…si jamais je venais à vous faire du mal, vous ne m’en tiendrez pas responsable. Vous n’avez pas idée de ce que cela signifie pour moi, et je suis indigné par cette différence qui nous sépare et horrifié à l’idée de ce que cela engendre. Si jamais par ma faute, il devait vous arriver quoi que ce soit…je vous en pris…ne me dites pas que je ne dois pas m’en vouloir.

« Lui faire du mal ? » l’idée ne lui était pas venu , comment andrew cet homme si douc et qui inspirait la confiance pourrait-il un jour lui faire le moindre mal , si elle n’avait pas était aussi timide la jeune fille lui aurait crier le contraire et si andrew finissait par la mordre ? L’humaine s’en contre fichait si c’était pour le bien de l’ecrivains elle aurait pu mourir sur la
seconde , et même si cela devait déplaire à Andrew même si cela l’aurait enervé elle lui aurait tout de même souflait avec son sourir habituelle « Ce n’est pas de votre faute , il ne faut pas vous en vouloir » . La frêle Elizabeth ne pouvait pas expliquer ce qu’était ce seniment si fort qu’elle ressentait , et si….Et si cela était de l’amour ? Le jeune homme vint interrompre ses pensées posant sa main sans default su la joue fraiche et rosée de Elizabeth.L’humaine posa son regard sur Andrew le regardant dans les yeux , defiant son regard charmeur . C’est hésitante quela jeune fille serra le nosferatus dans ses bras calant sa tête dans le cou du brun , respirant lentement son odeur , profitant de chaque secondes qu’elle passait dans ses bras , comme si ce bel âtre n’était qu’un rêve et qu’il passait comme la brise qu’il allait disparaitre et qu’il fallait qu’elle le serre dans ses bras avant que ce malheure n’arrive .


Elizabeth ouvrit la bouche , un son inaudible . Comme un murmur , un souffle doux et lent , un « je vous aime » tendre mais impossible à déchiffrer .
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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeVen 16 Avr - 23:34

Je parlais sans vraiment attendre de réponse verbale de la part d’Elizabeth, sachant parfaitement qu’il était bien difficile de pouvoir répondre à de telles révélations aussi bien sur ma véritable nature que sur mon fondement mental réel. Je me faisais passer pour un bel homme content de lui et en fait, je n’étais que le reflet pur et dur d’un homme condamné à la mort inévitablement, mis à part le fait que je sois condamné à l’inverse de l’homme. Je dois voir mourir tous ceux qui étaient susceptibles de m’intéresser, aussi bien en tant qu’homme qu’en tant que vampire. J’ai vu des milliers de ma race se faire détruire sous prétexte qu’ils étaient dangereux. Certes, les vampires doivent se nourrirent de sang humain, mais les animaux se nourrissent également de sang d’animaux, voir même pire, ils seraient plus judicieux de les comparer à des cannibales ! Quoi qu’il en soit, mon regard pensif interrogeait l’âme de ma petite ingénue. Elle me dévisageait comme si j’étais le dernier des demeuré, n’était-ce pas le cas après tout ? Se prétendre vampire et ne pas jouir de cette éternelle vie menée sur la terre mère de nous tous ici réunis, loup, hommes, succubes, végétation, ciel, mer !

Voyant qu’elle ne répondait toujours pas, je finis par reprendre la parole, ne voulant pas non plus qu’elle prenne de risques inutiles à mon égard sous prétexte que je sois un vampire et qu’elle ait pitié de moi comme je peux le voir dans ses yeux. Elle n’était pas réellement consciente de ce que je devrais lui coûter tôt ou tard si elle restait humaine, mais elle me plaignait, compatissait autant que j’aurais voulu qu’un vampire me comprenne. Ce fut ce regard qui me plaisait tant qui finit par emporter le dernier souffle de ma vie de vampire ordinaire. Je n’étais déjà pas comme les autres, mais actuellement encore moins. Je venais de décider que je la garderais et la chérirais en tant qu’humaine le plus longtemps possible, sauf si une situation m’oblige à m’accaparer son âme, ou si elle me le demandait, mais la encore j’essaierais de la raisonner.

Pour la première fois je ressentis l’envie de poser ma main sur la peau d’une personne, du moins sur une humaine et volontairement sans y être contraint. Je le fis et m’aperçu que ce n’était pas désagréable, loin de la. Sa peau était si douce que j’aurais voulu ne pas la retirer, ses yeux étaient si envoutants que je doutais de la véracité des informations que je possédais sur elle. Non pas que je me sois renseigné, seulement je suis observateur et l’expérience me permet d’en déduire plus que le commun des mortels sur les moindres mouvements et de les interpréter plus justement que quiconque. Je doutais de son appartenance à l’espèce humaine, elle était réellement déstabilisante et je la soupçonnais de le savoir, ou de le faire exprès. Mais le fait qu’elle rougit me ramena bien vite à la réalité, beaucoup plus difficile à accepter mais d’un côté plus douce pour ma belle.

Perdu dans mes pensées, je ne réagis pas lorsqu’elle s’approcha de moi, ne sachant pas ce qu’elle faisait. M’en voulait-elle ? Non visiblement, elle m’enlaçait. J’en fus premièrement surpris, écarquillant pour la première fois en 300 ans d’expériences si l’on ne compte pas les 105 premières années de ma vie. Puis vint alors ses murmures qui se répétaient dans ma tête comme s’ils étaient libérateurs, dévastant tout sur leurs passages, les fondements vampiriques, mes réflexions passées, mon histoire, tout. Je crus un instant entendre mon cœur et le sentir battre une à deux fois, cette sensation étrange dont je n’avais aucune expérience pour une fois était sur le point de me rendre totalement fou. Je sus immédiatement qu’elle était la cause de ce battement de cœur d’humain. J’entendais le sien battre plus rapidement et ma soif en était d’autant plus grande que je me tus, luttant et me re-concentrant en évitant de me disperser. Je resserrais docilement mes bras autour de sa taille, humant le parfum délicat de ses cheveux bruns et soupirant calmement et silencieusement.


"Je crois que je vous aime aussi ma douce… »


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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeVen 16 Avr - 23:36

"Je crois que je vous aime aussi ma douce…" Ces mots étaient si doux à l'oreille de Elizabeth , depuis qu'elle était arrivé a Londres personne n'avait fait attention à elle pas la moindre amitié le moindre geste , et maintenant elle se trouver dan les bras d'un charmant écrivain , un vampire qui plus est , le bonheur la submergé . Elle aurait voulu rester comme ça pendant une eternité , hélas pour les humains le temps était compté , le jeune fille chassa ses idée morbide du méandre de son cerveau .
Elizabeth encadra le visage de Andrew avec ses mains , observant pour la enième fois les yeux émeraude du brun , l’humaine approcha son visage de celui du bel âtre deposant un baiser sur les lèvre de celui-ci , oh ciel si ses parents l’avait vu , il lui aurait craché les principes de leur éducation , comme quoi une jeune fille ne doit pas se laisser tomber dans les bras d’un jeune homme facilement , mais étais-ce si grave si les jeunes gens partager le même sentiments l’un envers l’autre ? Et puis peut importe les principe ! Autant profiter de la vie , profiter de ses instant car peut etre un jour le nosferatus se lacera de la jeune fille surement trop banale à son gout . Elizabeth adressa un sourire affectueux à son interlocuteur vampirique . Celui paraissait quelque peut troubler par une preuve d’affection de la sorte .

- J-je suis désolée.

Elizabeth baissa les yeux confuse . Elle restait de pendant dans les bras De Andrew sentait son souffle calme et chaud sur sa nuque .
Les battement du cœur de Elizabeth était rapide et irrégulier depuis qu’elle avait embrasser le jeune homme, c’était sa première expérience , jamais avant elle n’avait prouver son amour à un prétendant , elle n’aurait d’ailleurs jamais pu le faire , cela ne se fait pas dans les genre de famille d’où elle est issue . Elle ne pourrait malheureusement jamais distinguer les émotions du vampire , aucun battement aucune expression ne trahissait ses émotion , l’humaine releva la tête . Elle avait eu tord pour la première fois elle pouvait distinguer une émotion qui semblait sincère , Andrew avait ecarquiller les yeux affichant un air surpris sur son visage si parfait .
Une question tiraillait la jeune fille , Andreww resterait eternellement jeune alors qu’elle…Elle viellirait prendrait des rides a chaque année qui passe , cette idée incommodait l’écossaise . Peut etre que si il…..Nan cela était une mauvaise idée , l’immortalité plairait-elle à la jeune fille ? Ou finirait elle par s’ennuyer affreusement se lassait du fait d’un vis interminable …Mais si cela était au coté d’Andrew ? L’idée paraissait toute
suite moins désagréable à Elizabeth qui sourit intérieurement . Passer sa vie avec le brun , cela semblait quelque chose de bien de
plaisant . La frêle humaine posa son regard vers celui de son bel
ami . Quelques coups retentir ,il était onze heure déjà d’après
le vieux clochet du quartier , Elizabeth se decida enfin a reprendre
la parole .


-
Accepteirez vous de passer une nuit ici ?
Vous n’avez qu’à prendre ma chambre je dormirais sur un matelas
d’ans l’entrée .


Elizabeth
éspèrait que la réponse du nosferatus soit positive , rien ne
pourrait etre mieu que de se reveiller en apercevant le doux visage
de celui qu’elle aimait tant . La jeune fille baissa les yeux
attendant une réaction de la part de l’écrivain .
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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeVen 16 Avr - 23:40

Je sentis Elizabeth bouger et me demanda immédiatement ce qui l’agitait. Elle était calme et pourtant à mesure que ses gestes se faisaient plus précis, son cœur battait de plus en plus vite. Ma soif s’en retrouva plus douloureuse, mais je ne dis rien. Elle me regarda dans les yeux, posant ses douces mains sur ma peau froide et dure. Je n’étais pas habitué à ce genre de sentiment, si l’on peut admettre qu’un vampire soit capable d’aimer. D’autant que je me souvienne, je n’étais pas non plus habitué à ce genre de situation ou je me laissais dominer par mes pensées et non mon instinct. Elizabeth était-elle celle qui était en mesure d’apaiser la bête monstrueuse que je suis ? J’en étais convaincu. Tous les faits étaient la réuni sous mes yeux, j’avais attendu une journée entière seulement avant de vouloir la mordre, j’avais également eu l’envie d’apprendre à la connaitre et non pas de dégout en en apprenant d’avantage sur elle.

Lorsque je réalisais qu’elle était sur le point de poser ses lèvres délicates sur les miennes, j’eu l’espace d’une seconde une image terrifiante en tête : celle de ne pas résister et de la mordre. Si jamais je venais à lui faire du mal, le voulant ou non, je m’en serais voulu ! Et malheureusement la peine en aurait été plus grande étant donné qu’elle m’aurait pardonné mes fautes et que je me serais senti coupable d’avantage pour un crime qu’elle m’aura poussé à accomplir, sachant maintenant ce que je suis. J’envisageais après ce moment de tendresse de lui donner un aperçu de mes capacités, mais me freinait bien vite, ne voulant pas l’effrayer. Alors il faudrait que je le lui explique par des mots simples et bien choisi afin qu’elle comprenne qu’il est dangereux pour une humaine d’être avec un sang froid.

Son baisé, aussi sensuel soit-il, provoqua une gêne extrême. Je ne savais pas si je devais, comme mon instinct me le dictait, surenchérir d’un léger baisé, ou bien si je devais mettre fin à celui-ci pour assurer une double précaution à ma partenaire. J’optai finalement pour la deuxième solution. Mes yeux s’assombrirent tandis que je portais ma main à ma bouche, souffrant en silence la douleur de ma gorge. Je me reculais quelque peu afin de calmer ma toux, puis déposa ma main sur la joue de ma bien aimée, la lui caressant pour la rassurer.


"Ne vous inquiétez pas, le fait de vous avoir si proche de moi tend à accroitre pour le moment une soif que je n’avais jamais connu. Peut être est ce la preuve réel que vous êtes celle pour qui mon cœur aurait battu si j’avais été humain."

J’avais pour une fois adopté un ton doux dont je ne me savais pas capable. Un léger sourire se dessina sur mon visage d’ordinaire inexpressif, traduisant peut-être mon amusement vis-à-vis de la dernière phrase de ma jeune compagne. Elle était effectivement désolée, de quoi ? Surement de m’avoir procuré une sensation de bien être associé à la fois à une douleur irréfutable. Mais, après tout, un bonheur ne vient pas sans restriction ! Je ne pris pas la peine de répondre, ou du moins, laissa un silence embarrassant s’installer à mon insu. Je le brisai aussitôt tentant de faire un peu d’humour.

"Finalement, le thé est froid."

Je l’arrêtais lorsqu’elle voulu se retourner pour saisir la théière, la serrant contre moi et sentant encore son cœur battre contre lui. Ma main dans ses cheveux, tenant sa tête et ma bouche sur son cou, je lui susurrais de ne pas avoir peur. Il était vrai que l’initiative inattendue que je venais d’entreprendre aurait très bien pu prétendre à mon incapacité à résister. Mais rien de cela, je ressentais un réel plaisir à faire rater quelques battements à la douce princesse qui hante mes pensées. Je voulais me prouver à moi-même que je ne lui ferais aucun mal. Je décollais lentement mon visage de son cou afin de lui faire face, toujours une main dans le creux de son dos et l’autre soutenant sa tête, puis tentant tout aussi lentement de lui donner un vrai baisé. Lorsque mes lèvres rencontrèrent les siennes, mes sens en furent émoustillés, mais rapidement je me concentrai sur ce que je ne voulais pas lui faire et cela eut un succès inespéré. J’approfondis, sans pour autant la forcer, seulement l’incitant à me suivre sans le lui imposer. Puis, à contre cœur, sans mauvais jeu de mot, je me séparais d’elle, l’éloignant lentement.

Alors que je m’appuyais contre la table, une phrase lui échappa subitement de la bouche, rougissante et le cœur battant, ce que j’appréciais fortement étant donné mon immunité à son sang à présent même si toujours irrésistible plus que celui de quelconques personnes. Je voyais dans ses yeux qu’elle était déterminer à me faire rester avec elle, bien que sa parole suggère que je sois libre de refuser, les yeux d’un humain ne trompe pas ceux des vampires.


"Sans aucun doute, je resterais si vous tel est votre désir. Cependant, je n’ai nul besoin de matelas, ni même d’un support sur lequel me reposer. Les vampires ne dorment pas. Ils ne ressentent pas également la fatigue, ce pourquoi rester debout m’est indifférent. Quant à vous ma chère Elizabeth, je prendrais soin de vous bercer jusqu’à pouvoir vous contempler dans votre sommeil."

Aussitôt je croisais les bras, fière de faire preuve d’un peu d’humour, attendant avec un sourire taquin la réponse de ma belle.
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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeVen 16 Avr - 23:43

Une quinte de toux vint interrompre le moment , Andrew recula quelque peu , le brun déposa finalement sa main froide sur la joue de sa douce amie .

-Ne vous inquiétez pas, le fait de vous avoir si proche de moi tend à accroitre pour le moment une soif que je n’avais jamais connu. Peut être est ce la preuve réel que vous êtes celle pour qui mon cœur aurait battu si j’avais été humain.

La dernière phrase avait un air tendre et à la fois mélancolique , il est vrai que Elizabeth ne pourrait jamais entendre le cœur de sa moitié battre où même s’accélérer quand ils sont ensemble , mais peut importe tant que les sentiment sont présent pourquoi s’embarrasser du superflu quand on a tout l’amour d’un homme pour soi ? L’humaine ressentait ce sentiment si dérangeant et à la fois si chaleureux et il est vrai que el manque d’expérience lui faisait défaut . Un léger sourire apparut sur le magnifique visage de l’écrivain son ton était doux et posé , il ne semblait plus aussi froid qu’il y a peu .
Un silence embarrassant s’installa entre la frêle humaine et le nosferatus . Elizabeth eu a peine le temps de tourner la tête en se rappelant que le thé refroidissait peu à peu , que déjà Andrew ouvrit la bouche .

-Finalement, le thé est froid.

Il faisait de l’humour maintenant ? Cela n’était pas pour déplaire à la jeune fille ,celle-ci n’eut d’ailleurs pas le temps pour se retourner et attraper la théière . Andrew serra Elizabeth dans ses bras , une de ses main c’était loger des les cheveux noirs corbeaux de la jeune fille maintenant par la même occasion sa tête , ses lèvre posées sur le cou de la mortel , il faut bien avouer que le cœur de Elizabeth manquant battement . Allait-il la mordre et la retirer à la pénible vie de mortel ? Le brun ne fit point ceci , il se contenta d’éloigner lentement son visage du cou de la jeune fille rassurant celle-ci au passage . Le bel âtre lui faisait maintenant face garda une de ses mains posée sur le dos de Elizabeth et l’autre toujours enfouit dans les mèche brune de la londonienne . Andrew embrassa la jeune ingénue , approfondissant quelque peu le baiser sans pour autant lui forcer la main et Elizabeth partagea se baiser nan sans gène mais aussi avec le plus grand des plaisir . Le nosferatus s’écarta finalement , lentement , gracieusement comme à son habitude . Le brun observa Elizabeth après qu’elle lui fit sa proposition , il ne réfléchit que brièvement avant de répondre .

-Sans aucun doute, je resterais si vous tel est votre désir. Cependant, je n’ai nul besoin de matelas, ni même d’un support sur lequel me reposer. Les vampires ne dorment pas. Ils ne ressentent pas également la fatigue, ce pourquoi rester debout m’est indifférent. Quant à vous ma chère Elizabeth, je prendrais soin de vous bercer jusqu’à pouvoir vous contempler dans votre sommeil.

Andrew croisa les bras un sourire taquin accrocher au lèvres , il attendait surement une réponse de sa jeuen amie . Elizabeth rougit , le fait que le vampire la berce n’était pas un problème elle en était même ravie , l’humaine entrouvrit sa bouche pour articuler quelques mots .

- E-et bien si cela ne vous dérange pas j’en serait ravie .

Elizabeth marqua un temps de pause .

- Mais je vous préviens que je ne suis pas comme toutes ses jeune filles de conte , je suis loins d’être gracieuse quand je dors .


L’humaine déposa un baiser sur la joue de son bien aimé avant de partir se changer dans la pièce voisine . La naïve jeune fille sortie quelques secondes après dans une tenue plus adéquat pour la nuit , un simple robe de chambre blanche lui retombant sur les genoux , rien de plus banal.

- Je vais me coucher rejoignez moi quand cela vous plaira .
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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeVen 16 Avr - 23:43

Elle se contenta de mon simple sourire avant de me répondre. Evidemment, je m’étais attendu à ce qu’elle soit favorable à ce que je reste en sa compagnie. Ce qu’elle ne savait pas, en revanche, était un point fort pour moi et une gêne pour elle. J’avais quelques regrets de ne pas être né humain, étant donné que je ne pourrais jamais connaitre la satisfaction de m’endormir en l’admirant, ni même de pouvoir sentir la chaleur de son corps enflammer ma peau. Je cessais bien vite de m’éloigner de cette pièce par la pensée et écouta la deuxième partie de sa phrase. Je ris malgré moi, caressant du bout des doigts sa chevelure lorsqu’elle passa à côté de moi et déposa un doux baisé sur ma joue, humant au passage le parfum délicat qui s’en dégageait.

J’entendais les froissements de tissus glissants sur sa peau et tenta bien vite de me concentrer au mieux sur quelque chose de plus sain disons. Elle revint quelques secondes plus tard, vêtue d’une longue chemise blanche tombant sur ses frêles genoux. Elle me fit signe qu’elle allait se coucher, et je du mettre un moment avant de pouvoir la suivre, mais elle ne le remarqua pas. Les sangs froids sont rapides, assez pour que l’on ne puisse déceler le moindre doute. Je remarquais un siège près du lit de ma douce et ne tarda pas à m’y installer. Elle semblait intriguée par ma personne et je ne sus dire si la cause en était mon habit, alors qu’elle s’apprêtait à dormir ou bien si le fait que je sois près d’elle mais pas autant qu’elle l’aurait voulu peut être ? Je lui souris du mieux que je pus avant de glisser quelques phrases.


"Y a-t-il quelque chose qui vous dérange Elizabeth ? N’hésitez pas à me le dire, j’en suis tout ouïe."

Bien sur, je savais pertinemment qu’elle ne me répondrait pas franchement, il était difficile d’avouer sans gêne que l’on désir la présence plus proche d’un être à ses côtés, ou bien que l’on soit troublé par son habit à une heure aussi avancée de la nuit. Je lui souris avant même d’avoir ma réponse. En un clignement d’œil, j’avais déjà ôté ma veste, mon chandail pur finalement ne garder que ma chemise. Concernant mon pantalon, j’avais un linge blanc plus ou moins serré. Le reste des vêtements bien replié dans un coin de la pièce. Je voyais l’étonnement une fois de plus de ma chère et tendre, et rit de nouveau.

"Que ce passe-t-il ? Vous avez pourtant été témoin de ma rapidité lors de notre premier baisé n’est-il pas ?"

Rappel assez habile dans le sens où je vis pour mon simple bonheur les joues de ma compagne rosir légèrement. Son cœur se mit à battre plus fort et m’emplit de ce bonheur lié intimement à ma souffrance. Je me rassis, attendant qu’elle me demande d’elle-même ce qu’elle attendait de moi. Je ne m’étais pas rendu compte avant de m’installer que ses yeux scrutaient mon corps timidement. Il est vrai, après tout que la nature m’a offert quelques avantages sur le plan physique, d’autant plus que je sois un vampire et que ma physionomie me permet un parfait accord avec mes capacités et ma ressemblance humaine.

La fenêtre qui éclairait la chambre à présent dont toutes les lumières avaient été éteintes, laissa un filet de lumière danser sur la peau de la jeune femme. La lune était à son apogée et j’entendis au loin d’autres créatures pousser leurs cris de ralliement. J’étais presque jaloux de cette lune qui pouvait sans crainte laisser sa lumière virevolter sur sa peau. Je ne laissais rien paraître, reportant mon attention sur les yeux d’Elizabeth. Une envie irrésistible de la serrer contre moi me prit, et je m’étonnais moi-même de penser cela, comment était-ce possible ? Jamais je n’aurais de réponse à cette question qui me turlupine, comment un vampire pouvait-il ressentir l’amour ? Comment est ce qu’une créature, aussi infâme soit-elle de devoir boire le sang des autres pour se nourrir, peut-elle être dotée d’un sens des sentiments ?

Je fis taire mes pensées, une nouvelle fois. Elizabeth contribua à ce que je ne me perde plus dans son regard en prononçant quelques mots dont je fus flatté et intrigué à la fois. Je savais dorénavant qu’il me restait beaucoup de choses à apprendre aussi bien sur les humains que sur les autres créatures. Vint aussi l’idée que je ne devrais plus me nourrir de sang d’humain, comme j’avais eu pour projet de le faire avec ma douce, cette pensée me glaçait le sang à présent ! J’avais honte d’avoir pu imaginer la mordre en la considérant comme une vulgaire chose sans aucun intérêt. Je fis serment silencieusement d’adopter un comportement plus sain pour la santé mentale d’Elizabeth et pour ma propre conscience.


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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeVen 16 Avr - 23:47

Elizabeth alla se coucher , rabattant sa couverture sur elle . Andew la rejoin se posant sur la chaise qui se trouvait près du lit . L'humaine fut deçue par la distance qui les séparait sependant elle se ravisa vite se rappellant que le nosferatu aurait bien du mal à retenir sa soif près d'elle . La naïve jeune file fut aussi surprit par le fait que le jeune écrivain gardait ses vêtement , chose rare à une heure aussi tardive . Le bel âtre ouvrit cependant la bouche pour articuler ces quelques mots

- Y a-t-il quelque chose qui vous dérange Elizabeth ? N’hésitez pas à me le dire, j’en suis tout ouïe.

Il était dur pour la jeune fille de dire ce qu'elle pensait , avouer le fait d'etre deçue par la distance qui les séparait était tout bonnement enfantin . Cependant le brun sourit avant même d'avoir eu une réponse satisfaisante . Il avait retiré ses affaire préstement , aussi prestement que le jeune fille en fut surpris bien qu'elle ai put avoir un avant gout de la rapidité d'un nosferatus il y a quelque minutes . Le rire de Andrew raisonna dans la pièce , un rire calme et doux , un rire tout bonnement charmant à l'éfigie de son propriétaire.

-Que ce passe-t-il ? Vous avez pourtant été témoin de ma rapidité lors de
notre premier baisé n’est-il pas ?


Elizabeth rougit en se rappellant de la scène bien que celle-ci ne lui avait pas déplu .

-O-oui mais-mais je n'arrive pas à m'y faire.

L'humaine regarda par la fenêtre , la pleine lune....L'ingénue apprécié
observait l'astre nocturne quand il était a son apogé . Un halo de lumière caressait la peau de l'humaine éclairant doucement la pièce
. Le sommeil commençait à alourdir les paupières de la jeune fille , Elizabeth observait son doux ami avant de sombrer dans le sommeil .
L'inquiétude vint tirer la londonienne de sa douce torpeur , aurait-elle rêvé de cette idyllique soirée ? Elizabeth regarda autour d'elle cependant la noirceur de la nuit l'empechait de voir quoi que se soit autour d'elle. L'humaine retira la couette qui recouvrait ses jambes , elle se leva et posa ses pied sur le parquet
. Elizabeth saisit la bougie qui se trouvait sur la table de nuit ainsi que les allumettes mais l'humaine les lacha prestement quand elle entendit le souffle de brun .


- Vous etes encore là ? J'ai cru un instant que tous ceci n'était qu'un rêve...

C'est rassurée que la jeune fille s'assit sur son lit
.
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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeVen 16 Avr - 23:48

Ma rapidité avait étonnée ma chère et tendre, je ne pu que réprimander un sourire en voyant son visage devenir peu à peu plus rouge. Que le parfum délicat de son sang était envoutant…et que sa douce peau était tentante ! Pourtant, je n’en étais plus autant dépendant, du moins je pouvais contrôler facilement mes pulsions sanguinaires. Bientôt, je la vis sombrer, et je fus étonner que la dernière chose qu’elle vit en s’endormant soit mon visage. En effet, il semblerait que pour s’endormir il faille se sentir au mieux, et visiblement j’étais sa pensée agréable du moment. Je me demandais, l’espace d’un instant à quoi pouvait bien penser ma douce, elle avait l’air si paisible et son rêve si charmant que je ne pouvais m’empêcher d’être curieux. Moi, qui ne connaitrait jamais la satisfaction de dormir sur d’agréable et douce visions, j’étais quelques peu jaloux des humains. En plus de ne pas connaître la vie éternelle il avait la possibilité d’oublier une dure journée après une bonne nuit de sommeil. Nous, vampire, nous ne pouvons ni oublier, ni dormir, injustice de la nature. Mais peut m’importait, j’étais proche d’une humaine et le fait est que je pouvais facilement comprendre son comportement, qui plus est en tant que vampire, mieux qu’un humain.

Alors que j’étais en pleine contemplation, Elizabeth se réveilla. J’étais immobile dans le fauteuil, bras appuyés sur les accoudoirs et ma tête reposa sur l’une des mes mains. Mes jambes croisées et le regard perdu sur la lumière qui émanait du visage de ma belle. Elle se découvrit, posant ses pieds sur le sol et était sur le point d’allumer une bougie. Je souris, exécutant un mouvement vers l’avant pour que mon visage soit éclairé par les rayons de lune. Elle sursauta légèrement, souriant et restant assise néanmoins. Elizabeth susurra quelques paroles douces qui chatouillèrent mes oreilles. Je soupirais non sans un air profondément exaspéré. Après tout, j’étais un vampire et penser à moi comme si j’étais un ange n’était pas très judicieux étant donné que je serais capable de faire plus de mal que de bien autour de moi, même en ne le voulant pas. Je ne pouvais comprendre comment Elizabeth pouvait s’imaginer et voir en moi un être doux et respectable, inoffensif et quasiment parfait. J’étais certes, né et fait pour attirer, mais en aucun cas je n’étais la perfection même, je pouvais tuer et le fait que je ne puisse parfois gérer ma soif est une preuve irréfutable.


"Elizabeth, ma présence n’est pas un rêve et encore moins bénéfique, mais si telle est votre vision des choses, libre à vous d’en penser ainsi. J’espère que la déception qui vous frappera les yeux plus tard, vous fera prendre conscience des dangers que vous encourez au près de moi. Mais, quand bien même vous désirez ma présence en ce moment même, je ne peux vous le refuser. Si je vous ai offusqué par mes paroles, veuillez m’en pardonner, ce n’était point mon but. Sachez que mon amour pour vous est véritable et éternel, et la question n’est pas de savoir lequel de nous deux est le plus amoureux de l’autre, mais plutôt ce que l’un risque de courir comme risque par la faute de l’autre."

Je voyais son visage endormi me dévisageait comme si mes paroles n’étaient pas assez claires. À vrai dire, au beau milieu de la nuit, ce devait être difficile de comprendre. Je soupirais de nouveau, me levant pour recoucher Elizabeth dans son lit en repositionnant ses jambes sous la couverture. Elle était horriblement belle. Attention, cet adjectif employé non pas par mon épouvantement, mais plutôt parce que cela ne faisait qu’accroître les sentiments humains à l’intérieur de moi, d’autant plus que ma peur pour elle et la peur vis-à-vis de moi-même. Je ne voulais pas lui faire de mal ni même qu’il lui arrive quoi que ce soit par ma faute, et pourtant ne pouvait faire autrement que de me tenir au près d’elle à chaque fois qu’elle le désirera. Hésitant, je me glissais sous la couverture près de ma douce, n’osant pas trop bouger de peur de lui faire mal ou de lui faire offense, je sentais sa chemise de nuit se soulevait à mesure que ses jambes gigotait pour se retrouver contre les miennes, et devait me re-concentrer sur son visage tend cela m’inspirait de mauvaises pensées. Je me tue, attendant la réaction de ma compagne, toujours à moitié endormi, cependant plus consciente à présent que j’étais très proche d’elle.
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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeVen 16 Avr - 23:52

Elizabeth entendit un soupir venant de son doux amant , malheureusement elle ne put connaitre la raison de se soupirement si soudain car l’obscurité cachait le visage et l’expression de Andrew. Elle entendit juste un pas puis un murmur .

-Elizabeth, ma présence n’est pas un rêve et encore moins bénéfique, mais si telle est votre vision des choses, libre à vous d’en penser ainsi. J’espère que la déception qui vous frappera les yeux plus tard, vous fera prendre conscience des dangers que vous encourez au près de moi. Mais, quand bien même vous désirez ma présence en ce moment même, je ne peux vous le refuser. Si je vous ai offusqué par mes paroles, veuillez m’en pardonner, ce n’était point mon but. Sachez que mon amour pour vous est véritable et éternel, et la question n’est pas de savoir lequel de nous deux est le plus amoureux de l’autre, mais plutôt ce que l’un risque de courir comme risque par la faute de l’autre

La jeune humaine n’ était en aucun point d’accord avec le bel âtre sa présence était bien au contraire bénefique a la londonienne . Elizabeth se fichait des danger tant qu’elle restait près de lui , peut importe ce qui diront les gens ou même les « enfants de la nuits » comme disent certains , cela ne changerait rien au sentiments que la jeune fille ressent pour l’écrivain . Ces paroles avaient bel et bien offusqué Elizabeth mais elle paronna aussi vite au brun qui maintenant eclaairé par la lumière de la lune fit naitre un sourir sur le visage de la petit ingénue. Le sens du reste des paroles fut confus , la fatigue et le sommeil empêchaient la jeune fille de raisonner convenablement. Elizabeth voulut ouvrir la bouche pour articuler quelque mots mais elle sentit le souffle de andrew près d’elle .Cette soudaine proximité fit rougir l’humaine , elle sentit les main de son doux ami se poser légèrement sur ses épaules , l’incitant a poser son dos sur son matelat. Elizabeth ne s’opposa pas a cela , le sommeil était un adversaire bien trop redoutable pour la londonienne .
Les mains glissèrent pour finalement encadrer les jambes de Elizabeth les posant sur le lit . La jeune fille sentit Andrew se glisser entre les draps rabattant ceux-ci . Le nosferatus ne semblait pas bougeait , de peur ? peut etre . L’humaine se mut jusqu’à sentir ses jambe contre celles du pâle individu posant sa joue sur le torse celui-ci . Elizabeth fit glisser sa main sur celle de Andrew la tenant comme si le vampir pouvait la quitter a tout moment , d’où venait cette peur du rêve ? Cette peur d’envisager que l’ecrivain ne fut qu’une simple chimère ? Elizabeth n’en savait rien . La peau du brin était douce lisse , fraiche et incroyablement parfaite . La jeune fille huma l’odeur du nosferatus..Une odeur presque distilé dans l’air , une infime odeur et pourtant elizabeth en respirait chaque bouffée avec ardeur , la gardant en mémoire . Le corps glacé de Andrew rafraichissait celui de la pâle humaine . Quelques rayon de lune venait se perdre sur les amant . Elizabeth n’arrivait pas a quitter les yeux émeraude de son bel ami , un regard envoutant et chaleureux a la fois ,la partie la plus humaine du jeune homme d’après la londonienne. L’humaine se decida enfin a ouvrir la bouche , ces parole était un souffle léger , elle chuchotait presque luttant contre morphé.

- Et si vous me mordiez…Je pourrais rester avec vous pour l’eternité ? Je serais comme vous , je vous compredais mieux que je ne puis le faire maintenant…qu’en pensez vous ?


Ce sujet était apparement tabou pour Andrew , l’ecrivain semblait en désacord , Elizabeth se mordit la lèvre voulant se faire pardonner . Elle n’en changeait pas moins son avis et ses pensé sur ce sujet .
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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeVen 16 Avr - 23:53

Au fur et à mesure que je déplaçais son corps léger comme une plume, je la sentais frissonner sous les mes gestes, caressant sa peau, osant à peine la toucher de peur de briser cette pâleur porcelaine qu’était la chair de ma douce. Hésitant, j’avais franchit la limite que je m’étais formellement interdit pour le bien être de ma dulcinée, mais qui l’avait à mon plus grand regret frustré : celui de prendre place à ses côtés dans la couche. Je restais cependant de marbre, évitant tout mouvement, et une fois de plus cela semblait affecter et désobliger Elizabeth, qui ne tarda pas à trouver mon corps plus confortable qu’un coussin. Je soupirais, ne comprenant pas comment elle pouvait me trouver plus reposant que l’édredon. Ses jambes vinrent se nicher contre les miennes tandis que tout son corps s’appuya sur la moitié du mien, sa tête appuyé sur mon torse et ses cheveux chancelant sur mon bras. Elle se saisit de ma main, je ne protestai pas, et son cœur semblait s’apaisait chaque fois un peu plus en se rapprochant de moi. C’était réellement perturbant que de devoir accepter cette fatalité qui nous unissait Elizabeth et moi.

Elle était à moitié endormie, son parfum délicat et plus marqué que le mien se promenant rageusement sous mon nez et la chaleur de sa peau que je ne ressentais que très peu à mon plus grand malheur, venait s’étendre sur moi. J’aurais voulu être aussi vulnérable qu’elle, et je l’étais en ce moment même de par ma misérable envie de la toucher, de faire glisser mes doigts dans ses cheveux, de bouger un tant soit peu pour la prendre dans mes bras et l’engloutir sous mes baisés de soie. J’étais misérable pour cette raison mais aussi parce que si je succombais à cette tentation, je pouvais très bien lui casser quelque chose aussi facilement qu’elle pourrait transformer en poudre un morceau de sucre. Il était vrai que de m’occuper de la transformation de ma douce était peut être envisageable, mais pour rien au monde je ne voudrais perdre Elizabeth, elle pourrait se retrouver bien différente de celle que je connais ou peut être même m’en lacerais-je ? Je me tue, sentant les lèvres de ma jeune compagne remuer et ses cils battre contre ma peau. J’attendais avec appréhension l’aveu que pourrait me faire Elizabeth encore somnolente, mettant fin à mes interrogations intérieures.

Je m’y était attendu, et me crispa aussitôt, la dureté de ma peau se faisant d’autant plus ressentir. Mes yeux étaient écarquillés tant j’avais redouté ce moment. J’avais conscience du lapse de temps relativement cours pendant lequel Elizabeth avait fait chaviré mon cœur, et bien entendu ce lapse de temps que j’avais pour profité de son humanité, sans qu’elle ne veuille devenir l’une de mes semblables. Je la repoussais légèrement, me relevant de manière à être assis à son côté. Je la regardais enfin, ou plutôt la dévisagea. Pour une fois, ma réaction paraissait plus humaine que je ne l’étais, j’avais mal, du moins ressentais un mal être qui n’était pas vraisemblablement connu chez les buveurs de sang. J’hésitais à la gronder, ou bien à la laisser attendre encore un moment, la laissant se réveiller un peu mieux afin qu’elle revoit ses propos. Rien n’y faisait, elle me regardait avec ce sourire désolé que j’avais eu l’occasion de voir à de multiples reprises, sachant très bien qu’elle ne changerait pas d’opinion sur ce sujet. Je soupirais, pour une fois les mots se bousculaient à une allure extrêmement rapide, à tel point que je ne pus en prononcer un seul correctement.


"C…comment peux-tu penser que tout ira pour le mieux ? Quelle preuve pourrais-tu avancer ? Qui te dit que tu me comprendras mieux ? Au contraire ne risque tu pas de me haïr pour l’affront que je t’aurais fait en trahissant ton humanité ? Je ne pourrais jamais, ô grand jamais commettre une erreur comme celle-ci ! Je veux que tu restes humaine, que tu profites des sens qui te guide, de tes sentiments et de ton cœur qui bats dans ta poitrine Elizabeth, savoure ta chance de pouvoir t’endormir et de pouvoir rêver, de te reposer chaque soir et d’oublier avec facilité tous les tracas le lendemain matin. Tu ne sais pas ce que c’est de pouvoir tout garder en mémoire, crois moi tu ne le voudrais pas non plus."
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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeVen 16 Avr - 23:56

Le brun c’était redressé d’un coup , semblait outré par la demande de Elizabeth . Le nosferatus avez les yeu largement ecarquillés , l’on aurait dit que son cœur c’étai remis a battre tout a coup tant le rictus qu’il abordait était humain. L’humaine observait avec remord les trait du vampire qui s’animaient à vive allure .[/size]

-C…comment peux-tu penser que tout ira pour le mieux ? Quelle preuve pourrais-tu avancer ? Qui te dit que tu me comprendras mieux ? Au contraire ne risque tu pas de me haïr pour l’affront que je t’aurais fait en trahissant ton humanité ? Je ne pourrais jamais, ô grand jamais commettre une erreur comme celle-ci ! Je veux que tu restes humaine, que tu profites des sens qui te guide, de tes sentiments et de ton cœur qui bats dans ta poitrine Elizabeth, savoure ta chance de pouvoir t’endormir et de pouvoir rêver, de te reposer chaque soir et d’oublier avec facilité tous les tracas le lendemain matin. Tu ne sais pas ce que c’est de pouvoir tout garder en mémoire, crois moi tu ne le voudrais pas non plus


Elizabeth réfléchit longuement a la réponse qu’elle allait fournir à Andrew , il est vrai qu’il avait des argument solide …Mes les sentiment qu’éprouvait la brunette n’était il pas suffisant ?
L’ingénue plongea ses yeux or dans ceux de l’enfant de la nuit . Ceux-ci semblait refléter l’aversion à proférer un acte aussi vil que celui de mordre son aimable compagnie . Ses iris se baladait de droite à gauche montrant son désaccord . La pâle écossaise souleva sa main et la posa doucement contre la joue de son bien aimé , l’incitant à se calmer.

- Je n’ai pas de preuve pour soutenir ma cause , de quel affront parlez-vous ? A part celui de me donné l’éternité avec vous , ce n’est pas une erreur . Et pourquoi rêver pourquoi m’endormir ? Le simple fait de vous voir près de moi est un rêve .


L’humaine déposa un baiser sur le front de Andrew . L’affaire n’était pas pressée , le jeune fille espérait juste pouvoir un jour être au près de celui qu’elle aime sans penser au temps qui passe et qui la change alors que son amant , lui , gardera cette même fraicheur , cette peau si douce , ce visage attrayant , ses yeux et ses mouvement si vif à jamais . Il est vrai que le temps l’effrayait , allait elle redoutait toute sa vie de soufflé une bougie de plus chaque année , ou même regretter le simple fait d’être dans ce corps si fragile et de passage .Le fait de ne pas pouvoir toucher l’ecrivain sans que celui-ci ne se fige comme une statue de marbre hantait les pensées de la jeune fille , l’odeur des humains était-elle si enivrante pour les vampire ? Elizabeth releva ses yeux vers Andrew attendant avec inquiétude sa réponse . Les choses que la brunette disait devait paraitre bien pueriles et stupident aux yeux de l’enfant de la nuit , qui tenait les propos les plus sensés ? Elizabeth se risqua encore une fois a ouvrir la bouche.


- Vous voyez bien , dès que je pose mes mains sur vous vous crispez , vos muscle se rédissent et vous semblez figeait comme le serrait une statue . Je ne veux point de tout cela , je veux etre près de vous sans qu’il vous prenne l’inexorable envie de me mordre . Être près de vous sans que vous en souffriez voila ce que je veux….
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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeSam 17 Avr - 0:03

Après m’être emporté, sans pour autant avoir levé la voix assez haut pour qu’elle ne prenne cela comme une dispute, je me calma légèrement. Me forçant à me terre, à ne pas en dire trop, ce n’était ni le moment, ni l’endroit. Elizabeth était réellement inconsciente de ce que je serais en mesure de lui faire en tant qu’humaine, mais j’étais également partagé par ce qu’elle pourrait faire en tant que vampire. Je ne voulais nullement qu’elle m’en veuille comme tout ceux à qui j’ai rendu « service » en leur imposant ce statut de vampire. Malheureusement, toutes ces personnes aux potentiels divers et variés et qui n’avait pas voulu mourir, aurait préféré se faire ronger par les vers plutôt que de ce transformer en d’horrible monstre comme moi. Je soupirais, serait-ce possible qu’Elizabeth, à l’inverse veuille encore de moi et qui plus est de la vie éternelle avec moi ? Je voyais dans ses yeux qu’elle était presque aussi déterminé que je l’étais à la maintenir vivante. Elle serait prête à quitter sa vie d’humaine, à renoncer à la lumière enivrante du jour sur sa peau, à son humanité, son cœur qui bat et qui m’est si précieux, la chaleur de son corps pour moi…si j’avais été en mesure de frissonner, je suis certain que ça aurait été à ce moment là. Mais ce n’était pas la seule chose que ses yeux laissaient paraitre. Un soupçon de tristesse qui m’aurait brisé le cœur. Son regard si sincère me manquerait si jamais je venais à la transformer…j’étais hésitant, plus que jamais et voudrait débattre sur ce sujet bien qu’en la regardant je savais pertinemment qu’elle ne voudrait pas être une gêne pour moi, par conséquent qu’elle voudrait que je la morde au plus vite. Dans ses yeux, tout l’amour que je pouvais voir me prédisait qu’elle attendrait le temps que je sois prêt et non pas d’être elle-même psychologiquement prête. J’étais flattée d’être aimé à ce point…mais aussi énormément embarrassé pour la première fois de toutes les vies que j’ai eues l’occasion d’avoir. Personne n’avait su semer le doute en moi autant qu’Elizabeth.

Lorsqu’elle posa sa main sur ma joue pour m’ordonner de me calmer, ce fut ce que je fis. J’attendais une réponse concluante et évidement elle m’en donna une, le fait qu’elle-même. Je m’y étais attendu, et plus que jamais je voulais lui montrer qu’elle avait tort de m’aimer ainsi. Tout en moi était fait pour qu’elle m’idolâtre, mon visage, ma musculature, mes expressions, mon odeur, jusqu’à même ma voix et mon éloquence. Je lui adressais un sourire désapprobateur, à la fois ferme, indigné mais doux et tendre. Je ne pouvais peut être pas lui en vouloir, puisqu’il s’agissait de moi, et qu’en raison de cela, c’était de ma faute si elle m’aimait à ce point. Mais, dans cet élan de raisonnement, n’est ce pas donc la raison de son amour pour moi ? M’aime-t-elle réellement parce que je suis Andrew Black, l’homme, ou bien le vampire ? La beauté ou bien le caractère ? Était-elle réellement amoureuse de moi ? ou bien du fait que je sois fait pour lui plaire ? Le contact de sa peau, si douce soit-elle eu pour effet de me glacer un peu plus. Je entais son pool et mes envies meurtrières reprenaient petit à petit le dessus, l’une de mes mains venant caresser la sienne, mes yeux de couleur sang étaient plongés dans les siens. Sans aucun doute ma souffrance était la raison de cette demande de transformation, et je m’en voulais plus que quiconque de lui avoir laissé voir que je n’étais pas spécialement humain. Je m’en voulais de voir qu’elle se sentait coupable d’être si délicieuse à mes yeux. Elle voulait que je puisse vivre à ses côtés sans risquer de lui faire du mal. Le baisé qu’elle déposa sur mon front me fit plisser le nez, essayant tant bien que mal de penser à ce que je ne voulais pas qu’il arrive. Il était de plus en plus difficile pour moi de résister, et le fait est que mon amour s’évertue à me pousser à l’acte fatal n’arrangeait rien. Je voulu répondre mais attendit quelques instants, docile, faisant preuve d’une maitrise hors norme pour le moment. J’écoutais attentivement le moindre son sorti de la bouche de ma chère et tendre. Une envie irrésistible de déposer mes lèvres sur les siennes me prit, mais je me renfrognais, sachant que ce ne serait surement pas un simple baisé que je risquais de lui donner.

Je m’approchais docilement d’elle, caressant à l’aide de mon pousse les lèvres de ma douce, traçant les contours de sa mâchoire jusqu’au menton, je pouvais à présent sentir son souffle sur mes lèvres, mes yeux trahissaient sans doute ma soif, mais pourtant je maitrisais mes instincts animal. Je ne voulais pas la mordre, je ne lui laisserais pas le choix, elle restera humaine qu’elle le veuille ou non.Je dis alors d’une voix sensuelle et calme, douce et voluptueuse à la fois :


"Ma chère Elizabeth, êtes vous certaines de vouloir perdre ce lien qui nous uni afin d’en créer un nouveau ? Ce jeu qui s’installe petit à petit entre nos être, l’un désirant l’autre et inversement, mais d’une manière tout à fait différente, tenez vous à ce point à devenir comme moi ? Devoir résister à l’appel du sang…l’éternité est si longue Elizabeth, seriez vous prêtes à sacrifier votre humanité, ce qui fait à la fois votre charme et mon désir pour vous afin d’être un monstre sanguinaire assoiffé de sang et aussi vil que ces hypocrites aristocrates que sont mes semblables dans le seul but d’être à mes côtés ? Seriez-vous prêtes à abandonner cela maintenant ?"

À peine eu-je le temps le temps de finir ma phrase, que sans attendre de réponse je la pris rapidement dans mes bras en tirant sans violence sa main posée sur ma joue. Je la tins comme lors de notre premier baisé, à l’exception que la main qui avait été cherché l’arrière de sa tête glissait à présent pour maintenir celle d’Elizabeth. Mes crocs collés contre sa jugulaire me faisaient atrocement souffrir, cette peur que je tentais d’immiscer en elle broyait tout mon être de cette souffrance abominable et attrayante à la fois. Je déposais quelques baisés sur sa peau de temps à autre, lui glissant à l’oreille par la même occasion quelques mots :

Seriez vous prêtes à souffrir pour devenir finalement un être effroyablement livide, un être doté de charmes et d’une force démesurée capable de broyer des os en ayant à peine effleuré ? Seriez vous prêtes à mourir par mes propres mains, ou devrais-je dire…de ma propre bouche si jamais je ne parvenais pas à stopper ma soif de votre sang ? »
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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeSam 17 Avr - 0:07

Andrew saisit Elizabeth, la prenant rapidement dans ses bras, tirant doucement la main de l’humaine .Le noseferatus fit glisser sa main jusqu’à celle de la brunnette la saisissant . Ses crocs collés contre la gorge de la pâle jeune fille semblait le faire souffrir , cette scène , a quelque details près rappellait à la londonnien le premier baiser que lui avait donné l’écrivain . Il déposa quelque baiser sur le cou de Elizabeth pui ecarta son visage pour la rapprocher de l’oreille de l’humaine afin de lui murmurer quelques mots :

-Seriez vous prêtes à souffrir pour devenir finalement un être effroyablement livide, un être doté de charmes et d’une force démesurée capable de broyer des os en ayant à peine effleuré ? Seriez vous prêtes à mourir par mes propres mains, ou devrais-je dire…de ma propre bouche si jamais je ne parvenais pas à stopper ma soif de votre sang ?"

« Je sentais sa peau glacé contre la mienne , cependant il manqué cette chose , ce rythme dans sa
poitrine ,cette « moteur » qui permet à chaque humain de vivre dans cette triste vérité qu’est la vie . J’aurais tant voulu écouter cette douce simphoni qui trahit le moindre sentiment de l’homme , ce petit rien qui fait pourtant tout . Cependant ses crocs sur ma gorge me rappellaient à l’ordre , ce serait mentir de dire qu’au fond je ne ressentait pas une quelconque crainte pour celui quue j’aimais , mais c’est ce qui m’attirait chez Andrew . Aimais-je le risque ? Ou simplement sa présence ? J’obtes pour la deuxième solution , mes sentiments était sincère pour cette créature bien plus capable d’aimer que tout autre être , bien pkus capble de tout , les années avait forgée cette expérience , cette vigilence que j’aimais déjouer . Si j’était prête a souffrir pour lui ? Que dieu en soit temoins , je serais capable d’exocer le moindrede ses souhaits . J’avais peur aussi …Peur de changer peur de laisser l’homme auquel je tenais tant … En devenant comme lui , peut etre trouverait-il meilleure partie , ou alors ,c’est peut etre moi qui finirait par trouver cette infinnissable existance lassante … »


-J-je ne sais pas …

Elizabeth frissona elle cette proximité si soudaine l’effrayait mais elle ne laisser rien paraitre . La jeune fille essaye de s’extirpé mais rien n’y faisait . Cette peur de faire souffrir l’être aimé palipité dans la poitrine de l’humaine , allait-il retenir sa soiffe ? La londonienne ne savait plus ce qu’elle voulait , cette idée était confuse . La brunette se calma , Elizabeth jettait un regard furtif au nosferatus ,toujours le visage enfouit dans son cou , elle essayait d’entre voir ce regard si rassurant qu’elle aimait tant , elle ne voulait plus voir son doux ami se crisper au moindre de ses mouvement . Si seulement il était humain…Ou si seulement elle pouvait devenir comme lui . Elizabeth veait se rendre compte du fossé qui la séparer de son amant , toute ses chose qui les eloignait et pourtant qui lui plaisait tant . Pourquoi était-elle née dans ce corps si fragile ? si seulement…si seulement elle pouvait l’empecher de souffrir , juste le voir pleinement heureux , pouvoir le serrer dans ses bras , une fois , juste une fois c’était tou ce qu’elle demandait elle passerait le restant de ses jour a juste l’observer agir si il le fallait , mais juste une fois elle voulait le sentir contre lui
pleinement satisfait de leur amour .
Trois heures sonnait au clochet du quartier lugubre du quartier de white chapel . L’heure des demons comme l’appellait certain , cette heure était pourtant la plus atractive de la journée ; pas un bruit dehors , personne ou en apparence …Une heure étrange qui mêle le jour et la nuit , les creatures et les
hommes .
Elizabeth tourna son visage légèrement eclairé par les rayons de la lune vers l'enfant de la nuit qu'elle cherissait le plus attendait avec apréhention sa réaction.
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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeSam 17 Avr - 0:09

Le silence régnait en maître, la pénombre envahissant la chambre jouait en ma faveur tandis que je sentais le cœur de ma compagne accélérer son rythme à mesure que j’avançais. Mes crocs étaient contre sa peau et ma soif d’elle ne faisait que s’accroître tant j’aimais cette humaine. Je souffrais de devoir délibérément lui faire peur afin qu’elle prenne conscience de notre différence. Mais il n’y avait pas d’autre solution, mieux réveillé, tout à l’heure elle avait clairement affiché qu’elle n’était pas le moins du monde effrayé par la mort ni même par moi, et pourtant j’étais plus dangereux pour elle que n’importe quelle autre créature qui rodait dans les parages. Une fois si proche d’elle, je l’avais sentit attentive, pétrifié comme une statue de marbre, mais je savais pertinemment que ce n’était pas pour les raisons que je voulais lui entendre dire. Je commençais à lui susurrer quelques mots à l’oreille, toujours pas de réaction, mais quand bien même elle me dit qu’elle ne savait pas lorsque je lui fis par du risque à encourir, je fus soulagé. Je lâchais sa main, qu’elle avait tenté de tirer vers elle pour s’éloigner et me recula lentement. Sans daigner prononcer un mot, je radoucis mes traits, marqués quelques instants par cette frustration et ce mal qui m’avait envahit lorsque j’avais osé commencer ma farce. Ses yeux, dévoilant sa peur, mais aussi le traumatisme de cette différence qui malgré nous nous unie, trahissait maintenant cette envie d’être semblable, cette injustice à laquelle nous étions soumis. Son regard presque vide m’alarma sur la pensée qu’elle avait à l’esprit. Bien que je ne sois pas capable de lire dans les pensées, je savais pertinemment qu’elle ne voulait pas me perdre pour une question d’espèce. Je passais ma main sur sa joue, caressant avec toute la douceur don j’étais capable sa peau fine et opaline et lui adressait un sourire bien que triste, un sourire tout de même. Confus, ne sachant plus si j’avais eu raison ou tort de lui montrer à quel point nous étions différent, je ne pu m’empêcher de reprendre la parole.

"Je pense que vous êtes suffisamment intelligente pour comprendre à présent l’immense fossé qui nous sépare. Mais…reprenez vous Elizabeth, les mots que je vais vous dire vont peut-être apaiser votre conscience et surement votre cœur qui souffre…par ma faute. Si vous vouliez vous blottir contre moi, je n’y verrais pas d’inconvénients. Je sais que la dureté de ma peau lorsque vous m’approchez vous brise le cœur, et soyez en sur cela aurait brisé le mien s’il n’était pas figé dans cette éternité. Néanmoins, cette frustration ne durera qu’un temps. En l’occurrence, le temps pour moi de m’habituer au doux parfum que vous dégagez et bien entendu à la proximité de votre sang. S’il était question d’une autre personne, cela ne poserait pas de problème, je suis immunisé contre tout autre sang. Mais le votre Elizabeth…est d’autant plus attrayant parce qu’il s’agit de vous…mon amour…

J’avais dit ces dernières phrases en m’approchant de nouveau d’elle, toujours ma main posé sur sa joue, cependant beaucoup plus chaleureux et aimant que lorsque j’avais décidé de lui faire peur. Je déposais mes lèvres sur les siennes, lui coupant la parole volontairement. Je n’approfondis pas, reculant mon visage lentement. Soudainement, je la pris dans mes bras, humant son odeur sucrée et délicieuse et la serrant sans lui faire mal. J’avais rarement l’habitude d’étreindre mon entourage, mais je pouvais soulever des montagnes pour cette femme, exaucer le moindre de ses vœux au péril de ma vie, mais jamais de la sienne, quoi qu’elle veuille. J’avais cédé à son caprice : l’enlacer sans ressentir la moindre envie de mordre, du moins je me forçais à ne pas contracter mes muscles plus qu’un humain normal ne l’aurait pu, mon visage était serein. L’horloge de White Chapel sonnait trois heures du matin, heure étrange ou l’on pouvait observer quelques départs et les gens remplir peu à peu les rues. Je restais là, enlaçant ma bien aimée, pour une fois soulagée de toute peine. Je ne me soucierais que d’elle ce soir, et tous les autres soirs si elle le désirait. Je caressais ses cheveux la rassurant par la même occasion, j’étais certain que cela lui ferait le plus grand bien et je n’avais nullement besoin de soulever son visage de mes mains glacées pour pouvoir le vérifier. Cependant, j’aimais voir son visage paisible et non pas apeuré. Je soulevais alors son menton à l’aide de mon index, souriant plus dignement que précédemment. Rien ne pouvait entraver mon bonheur quand je voyais ce visage, son visage. Je déposais malgré moi, instinctivement un baisé sur son front, fermant les yeux pour profiter de ce contact et reposait ma tête sur celle d’Elizabeth. Ce prénom qui avait tout de suite fait écho en moi tout comme sa personne entière lorsqu’elle était venu m’adresser la parole à la bibliothèque. Un sourire naquit sur mes lèvres tandis que je me remémorais notre rencontre, qui était des plus banales. Il suffit d’un rien, d’un jour, d’un geste, d’une décision, d’une heure et d’une parole pour que votre destin change, et j’en suis la preuve vivante…ou presque.


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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeSam 17 Avr - 0:09

Le doux baisé que m'avait donné mon aimé effaça ses actions précédentes qui étaient des plus effrayantes . Il recula doucement , n'approfondissant pas . Je posais alors ma tête contre son torse , sa froideur ne me dérangeait plus à présent , en y pensant bien ...Nous étions tous les deux contraire , il était vampire et je n'était qu'une fragile humaine , mon cœur battait et pas celui de mon amant , cette pensée me fit perdre mon sourire , 'aurais voulu pouvoir le faire battre .
Je passais une de mes mains sous sa chemise , la posant ensuite contre son torse , je cherchais un battement , comme un enfant qui s'attacherait à une chimère , même si son cœur ne raisonnait pas à travers sa peau de marbre je savais bien que cela importait peu , cette pompe vitale pour tous ne fonctionnait pas chez mon écrivain , et alors ? Il pouvait tout de même ressentir ce sentiment que nous partageons ….Alors au diable ce maudit cœur ….
Je me calmais peut a peu , je sentais la main d'Andrew passer dans mes cheveux d'ébène , il me rassurait plus qu'il ne le pensait , et sa présence m'apaisait , il resserra son étreinte et j'étais maintenant prisonnière de sa blancheur sculpturale , et pourtant entre ses bras qui pourraient me briser je me sentait sereine , je me sentais en sécurité . Andrew me sortit de mes songes , soulevant mon menton pour m'observer , je plongeais mes yeux dans les siens et rougissais un instant , je sentis ses lèvres se poser délicatement contre mon front .
Les heures défilaient si rapidement quand j'étais dans ses bras . Quand l'horloge frappait cinq coup je décidais de me lever , pensant que maintenant je ne pourrait plus dormir , je me dirigeais vers le salon le moins bruyamment possible pour ne pas réveiller l'étrange personne qui vit en dessous de chez moi ...Il est vrai que cet homme me glaçait le sang mais là n'est pas la question . Je saisissais la théière que j'avais laissé dans la cuisine le posant de nouveau sur la cuisinière , j'attendais alors , lançant un regard vers mon aimé , il était surement surpris de cette réaction si soudaine .Je m'approchais de nouveau de lui , posant ma tête contre son torse une nouvelle fois .


voulez-vous une tasse de thé vous aussi ? »


je le regardais ...Il est vrai qu'il y avait quelque chose de mystérieux en lui , cependant il n'était pas comme l'un de ses vampire dont j'avais pu lire la description dans un de mes romans , il semblait humain , cela en était troublant , c'était surement se charme envoutant qui m'avait attiré vers lui ...Mais...Pour quelle raison au juste c'était il approchait de moi ?


- « J'aimerais savoir....Pour quelle raison vous êtes vous rapproché de moi ? Cela était si soudain ...Et je n'ai pas autant d'atouts que les certaines dames , regardez donc ou je vis ...Croyez vous que vous pourriez vous complaire dans une telle simplicité ? Je ne veux pas dire par là que vous ayez besoins de choses extravagantes mais …..Pardonnez moi mais je tellement de mal a m'exprimer . »


C'était surtout ses yeux qui me troublait , ses pupille saphir était plongeaient dans les miennes , ou c'était plutôt l'inverse ...Je ne pouvais me détacher du regard de cet homme qui avait dérobé mon cœur . J'approchais mon visage du sien , mes lèvres me brulaient....Je me retins finalement préfèrent attendre une réponse de sa part .
Les secondes de silence paraissaient des heures , et mon inquiétude augmentait , se silence m'angoissait , j'avais peur du mensonge , je ne me voilais surement la face mais j'avais besoin de le savoir , pour être sûre de mes sentiments et de ceux de mon amant par la même occasion .
Le bruit de l'eau qui bouillait me sorti de ma torpeur , je me lever rapidement et me dirigeais vers la cuisine , peut être que Andrew pourrait trouver une réponse pendant ce temps .
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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeSam 17 Avr - 0:14

Aussi clair que cela soit, le statut de vampire était bien différent de celui de mon aimée. Malgré ce fait, je ne pensais pas que sa conscience s’obstinait à ne pas le comprendre, mais plutôt qu’elle-même refoulait cette vérité absolue dans le but de pouvoir se rapprocher davantage de moi, ce pourquoi j’avais employé ma force afin de lui faire violence et d’ouvrir ses yeux ombres. Un silence plus que déchirant avait glacé mon sang plus qu’il ne l’est déjà, si je puis me permettre. Elizabeth poursuivait la moindre once d’humanité qui se cachait en moi et cette fois-ci n’avait pu échapper au danger que je représentais pour elle, bien que je ne désirais lui faire de mal, il était tout à fait possible que je lui en face et je supposais qu’en cet instant même elle venait d’en comprendre la morale. Je n’étais pas fier de mes gestes et même si mon regard ne témoignait en rien de ma tristesse, il était certain que mon âme, s’il m’était permis d’en avoir une, m’arrachait une souffrance telle que je n’osais plus encrer les yeux en les siens. J’échangeais un doux baisé avec elle, m’appliquant à réparer l’erreur de l’avoir, ne serait-ce, qu’offensé. J’espérais que mes paroles étaient toujours gravées en sa mémoire afin de ne pas devoir lui dire à nouveau ma dangerosité mais mes efforts devaient être vains tandis que ma persévérance me poussait à ne pas baisser les bras si aisément. L’une de ses mains passa sous ma chemise, je me crispais, mes prunelles se rétrécirent. Tout mon corps la voulait et pourtant je restais de marbre, me devant de la regarder comme n’importe quelle femme pour calmer mes ardeurs.

S’en était assez, je la pris contre moi, passant l’une de mes mains dans ses cheveux noirs corbeau, écoutant les battements de son cœur comme s’ils apaisaient la bête qui grondait en moi. Je voulais son sang, ce liquide ferreux qui m’était si précieux et dont seul le sien pouvait avoir effet sur moi. Certes, je pouvais me nourrir aux cous d’incongrus voyageurs, cela reviendrait au même, boire en ne ressentant aucune envie de boire, toucher à ce que l’on ne veut pas toucher, telle était ma pensée. Lorsque je prétendais ne vouloir qu’elle, cela voulait bel et bien dire que je ne voulais qu’elle, aussi bien l’hémoglobine qui circulait en elle que son corps, sa présence et son souffle contre moi. Je sens que ce mal d’elle me ronge et sachant qu’il n’y avait qu’une seule issue valable à ma démence, je l’utilisais sans mesure et ainsi soulevais d’une caresse son menton pour me plonger en ses yeux qui me fascinaient tant. Je ne pus retenir un baisé sur son front comme pour me persuader à nouveau que j’étais en mesure de la garder entre mes bras sans que mes canines ne se dévoilent au grand soir par volonté de la mordre. Je pu admettre que la rigidité de ma volonté me permettrait de ne pas le faire sans avoir à canaliser mon énergie.

Nous étions dorénavant comme ces statues grecques dont la magnificence était présage d’une vie digne, malgré ma réticence puisque je ne devais pas en faire parti, étant immortel et néfaste pour ma douce, il était certain que je ne pouvais être digne, l’horloge sonna les 3heures du matin, heure à laquelle les démons sortent de leurs demeures pour se mêler à l’humanité...la belle se leva, j’observais silencieusement ses jambes se diriger gracieusement vers la cuisine dans l’obscurité, sa robe de nuit dansant au rythme du vent et mon cœur qui se serait balancé allègrement tant ce spectacle faisait écho en moi. Sa légèreté me surprenait davantage que sa beauté tenant une théière à la main, était-ce seulement cela ? Ou bien la voyais-je ainsi ? Une question roulait sur ma langue, Elizabeth préparait du thé soudainement, lui arrivait-il d’en préparait toujours à cette heure ci ? Heure qui, je le répète, à laquelle il est bon de rester chez soit dans le confort de l’obscurité et la sécurité plus ou moins rationnelle de son lit. C’est trois heures étaient l’insigne même du malin et j’espérais qu’Elizabeth ne profanait en rien cette vieille tradition.

Son regard se posa sur moi, puis elle revint, me proposant son thé, je lui souris, paraissant sur de moi malgré la gêne qui m’envahissait de boire à une heure si tardive pour elle, d’une part, et d’une seconde parce qu’il s’agissait d’une heure particulière, j’insiste sur ce point puisque j’y tien. Néanmoins, je n’aspirais pas à refuser les soins de celle qui bordait à présent mes jours comme mes nuits, jusqu’à la fin des temps...


"Bien, pourquoi refuserais-je ? Je ne peux décliner votre si généreuse hospitalité Elizabeth. En revanche, veuillez rassurer mon être, vous ne prenez tout de même pas chaque nuit votre thé à cette heure ci n’est ce pas ?"

Ses yeux me fixaient toujours de cette même manière, je l’envoutais...diable que cela me troublait de voir ses pupilles m’admirer ainsi, ou plutôt aduler mon moi extérieur, crée pour lui plaire jusqu’au moindre détail. Je me répugnais...tout ce qu’il y avait d’humain en moi m’exaspérait, si j’avais été une bête m’aurait-elle regardé de cette même façon ? J’en doute, mais ce dont j’étais certain, c’est que mon éloquence et de par ce biais, le peu de ma personne que je lui laissais entrevoir lui plaisait. Elle prit la parole pour me faire par de quelques remarques étranges, mais toutes plus vraies les unes que les autres d’un point de vu humain seulement. Je m’autorisais un sourire, laissant par mégarde échapper une légère interjection.

"Il est vrai que vous n’habitiez pas dans le luxe qu’il m’est permis de côtoyer, or, cela me plait. Croyez-vous qu’un vampire s’attache à ce genre de futilité ? En ce qui concerne mon expérience, la simplicité de votre demeure me convient plus que vous ne pourriez le croire. Quant à ces dames de haut rang ? Ces femmes aux corps divins, veuillez pardonner mes propos, elles n’égaleront jamais la beauté de votre regard Elizabeth. Vous dégagez une aura si pure que n’importe quelle créature vivant sur cette terre et dans les cieux serait troublée à votre simple vu. Pour vous répondre, ce qui m’a attiré mis à part votre époustouflante beauté est votre sang. Comme le loup qui s’éprend de son âme sœur, le vampire s’éprend du calice jeune demoiselle, je ne vous proposerais jamais de l’être, vous êtes si douce que je n’oserais profaner votre chair de mes vilains crocs...sachez simplement que chaque être est spécial, tout dépend de son observateur..."

J’avais profité du silence pour faire languir ma chère et tendre, bien que son impatience trahissait la tendre douleur que je lui infligeais sans remord. Je savais parfaitement ses craintes et profitait de cette peur qui la hantait pour garder en moi ce visage apeuré qui certifiait que mon aimée ressentait bel et bien ce que l’on appelait « amour » chez les humains et qui se traduisait par le lien de sang entre l’immortel et l’humain destiné à être calice. Comme j’en avais fait le serment, Elizabeth ne sera pas calice, je posais cela comme un interdit pour moi-même afin de bien me rappeler que je ne désirais pas planter mes crocs dans sa si douce peau, ce geste honteux me rappellerait mon ignoble rang ainsi que ma race et de ce fait le flagrant fossé qui nous séparait et faisait, pour ma belle, notre union. Le thé la sortit de ses pensées, dont j’étais, je l’avoue, bien curieux de connaitre. J’en profitais pour la rejoindre sans un bruit, aussi rapidement qu’il m’était permis de l’être, puis lui sourit en me penchant par-dessus elle, faisant surement appellent à ces mêmes sensations que lorsque nous étions entrés tout deux pour la première fois dans cette cuisine...ainsi que notre premier baisé. Je susurrais alors :

"Vous savez Elizabeth...la personne la plus spéciale et chère à mon cœur ne peut être que vous. Vous avez bouleversé mon être tout entier. Ce lien de sang qui nous uni est la preuve même que vous l’êtes à mes yeux. Si vous vous demandiez quel phénomène faisait que nous, créatures de la nuit, puissions être capables d’aimer, je pense vous en avoir donné une réponse partielle. Car en effet, la deuxième moitié de mon explication serait la suivante : toute créature aime, l’animal, doté d’une conscience instinctive ou intelligible aime également. En d’autre thème se phénomène s’applique sur n’importe quel organisme même étant mort. Je suis donc capable de vous aimer de moi-même et non pas seulement pour votre sang mamie, vous me captivez, chaque soupire, chaque geste m’emprisonne dans une cage dont le verre laisse refléter toute la douceur de votre âme et le délice succulent de votre enivrante personne..."

Je déposais mes lèvres contre son cou, éveillant tout mes sens et excitant sa peur, tandis que le bonheur qui exaltait de son corps faisait gronder en moi les derniers instincts primitifs qui m’auraient fait douter de la maîtrise experte que je possédais d’ordinaire. Les vagues de culpabilité qui se rapportaient à mon statut s’échouèrent de la même façon. J’avais trouvé une paix intérieure entre mon moi humain et mon moi créature, grâce à la belle ? Ou bien par moi-même ? Nul ne peu le savoir, mais l’expérience forge la sagesse et peu importe l’obstacle, il est toujours bon de le dompter pour en faire une expérience acquise...ainsi Elizabeth s’était trouvée sur mon chemin et devenait surement l’une de ces expériences, à la différence que son acquisition ne m’était pas certaine et qu’en revanche elle était éternelle...


Dernière édition par Andrew Black le Sam 17 Avr - 23:24, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite)   Sans arrières pensées [Andrew Black] (suite) Icon_minitimeSam 17 Avr - 0:15

Je me tenais dans la cuisne , un frisson parcourant mon echine quand je devinais son regard posé sur moi .Il n'y avait rien de plus doux , rien de plus délèctable que de savoir que ses pupille si troublante pour mon etre , était en ce moment même en train de me détayer . Si bien que mes gestes devenaient confus de peur de paraître bien peu dégourdi auprès de mon bien aimé . Je me retournais et jettais un coup d'oeil vers ma chambre , je ne pouvais dinstinguer grand chose dans la pénombre , cependant j'arriver a le voir lui , toujours étendu sur mes draps , attendait il ? Je praissais mes mouvement ne voulant pas tarder a le rejoindre .
Il est vrai que son corps m'attirer mais aussi tout son être , il avait ce don
que ne possède que quelques rare personne , il m'envoutait en susurant ses mots que je gardais préssieusement ancré dans mon ame ; ses yeux me donnait l'impression qu'il pouvait lire en moi comme un livre ouvert et je pense que sur ce point j'avais raison . Je me rapprochais de lui une fois finit les préparatif , me reposant contre lui . Qu'il était bon d'entendre sa voix , se murmur suave et si plaisant a mon ame . Je retint un rire quand j'entendis Andrew parler de mes habitudes , je me redressais quelque peu jusqu'à ce que je puisse au moins distinguer son visage .



' "Que votre ame ne soit guère tourmanter mon aimé , je ne boit mon thé qu'à leur anglaise , et mes nuits son bien plus longue ! Mais ce soir , je préfère être sur que vous n'allez pas vous effacer si je me rendort , tous cela est si ….Comment dire , je n'en trouve pas les mot , voyez a quel point vous me troublez ."

Je ris malgrès moi , je me surprenais aussi dans le fond , je bafouais moins bien qu'au premier temps de notre rencontre , cependant il rester en moi encore quelques difficulté à m'exprimer , quand son attention était posée sur moi je ne pouvais qu'être chamboulée , je voulais paraître le mieu possible pour lui , et ben malheureusement je m'enfonçais .
Je repartis a la cuisine après quelques minutes dans la cuisine , reflèchissant à ce qu'il m'avait dit il y a a peine quelques secondes , un calice ? Je me demandais si le fait de lui donner mon sang pouvait nous rapprocher ….Cepedan ne vallait il pas mieu que mon cher est tendre se rapproche de moi pour des raison sentimentale et non pas pour le nectar sucré qui coulait dans mes veines ? J'optais pour la première raison . Malgrès toutes ses douces paroles je restais en quelque sort méfiante , un homme , si parfait ….Ne se lassairait il pas ? N'était il pas avec moi seulement pour mon sang ? Je me posait toutes ses question quand je
senti son souffle près de moi , je ne l'avais même pas remarqué , il c'était approchais si discretement , autant que sa race - « race » je detestait se mot il se dressait entre nous comme un focet lorsque je prononçais ce mot – pouvait le luit permettre .

Andrew se pencha au dessu de moi , je profitais de cet instant pour le decrire une nouvelle fois , mon regard se fixa bientôt dans ses pupilles qui m'attirait tant ...Ne dit-on pas « les yeux son le miroir de l'âme ? » c'est lui que j'aimais par dessus tout , bien que son physique m'attire je crois que c'est sa personne qui me plaisait au plus haut point . J'aurait tant voulu lui dire ça avec des mot , entre ouvrir mes lèvres et lui murmurait tout cela , mais j'était figée , d'un part par la proximité de nos êtres et d'autre part , de peur de ne pas m'exprimer suffisament correctement , de plus je ne trouvais pas les mots pour tout lui dire . Je sorti de mes pensées et l''écoutais passiement , ses paroles raisonnaient en moi . Si douce si sincères que les larmes me montèrent , je pris sur moi et me retenais . Tant d'amour exprimait comme cela me touchait . J'approchais mon visage du sien et deposais un baiser sur ses lèvre reculant à contre coeur . Je ne savais que répondre à tant d'ardeur . Je réflèchis a mainte proposition , me torturant les méninges alors que la réponses était sous mes yeux . Un long silence , il n'était pas pesant , nous nous regardions dans les blanc des yeux , un langage que nous seuls pouvions comprendre , je decidais de briser cette conversation silencieuse .


-"je ne suis pas aussi douée que vous pour m'exprimer , je ne peut pas decrire ce que je ressent a votre égard tant ce sentiment est fort alors ….."


Je reprenais mon souffle quelque seconde, j'aimais la lueur qui était encrée dans les pupille de mon amant , j'aimais le faire languir , attendre , comme le jeu du chat et de la souris , Peut etre finirais-je par me bruler les ailes et mon chat finirait-il par s'impatientait ? Je finit par reprendre la parole , ce n'était pas lui mais moi qui m'impatientait d'exprimer mes sentiment les plus profonds.

- ""je vous aimes ….Je vous aimes comme je n'ai jamais pus aimais et comme je n'aimerais jamais plus ."

Quoi de plus simple mais quoi de plus vrai ? Je me rapprochais une nouvelle fois de lui , lui donnant un baiser bien plus passioné qu'il y a quelques instant . A cet instant nous répondions tout deux a un instant ancrée au fond de nous , que tout être possède , qu'il soit animal , Homme , ou bien enfant de la nuit , je passais mes mains sur son visage pour finalement redescendre et les meler aux siennes , déposant un baiser dans son cou . N'y avait-il rien de plus délicieux que cette proximité si dangereuse ? Je n'ais jamais osé briser ses infimes cage de verre qui nous séparez , je pouvait entendre son souffle , je n'osais relever les yeux .
Etais-ce cela que ressent une proie avant le baiser mortelle que lui donne son prédateur ? J'étais la proie , proie d'un amour si fort que je ressentais pour lui , il n'y avait pas de prédateur si ce n'est l'amour que nous nous portions .
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