Children of the night
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...Will you survive ?...
 
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 Adrian Lewis pour votre déplaisir [FINI]

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Adrian Lewis


Adrian Lewis


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Adrian Lewis pour votre déplaisir [FINI] Vide
MessageSujet: Adrian Lewis pour votre déplaisir [FINI]   Adrian Lewis pour votre déplaisir [FINI] Icon_minitimeVen 7 Jan - 17:38

* PERSONNAGE *


Nom:
Lewis est mon nom mais bien peu de personne le connaisse. Comme si cela pouvait intéresser quelqu'un...
*Prénom:
Adrian
Âge:
En apparence pas plus de 30 ans. Mais en réalité? J'ai cessé de compter depuis le temps...
*Race:
Créature
*Groupe:
Démon

Métier:
/
Quelle pierre ?:
/
Intention envers les humain:
Mauvaise, mais étant d'une nature imprévisible, qui pourrait vraiment l'affirmer?
*Lieu de résidence:
Les rues de Londres sont ma demeure, ou bien peut-être ton lit?

*Description physique:
Que dire sur mon apparence? Je suis un Londonien comme tous les autres. J'aime à être bien habillé, tel ces aristocrates qui arpentent les rues, même s'il ne me scié guère de me comparer à eux. Mais pour moi l'apparence compte beaucoup. Ainsi, le costume est toujours de rigueur. Bien entendu je le préfère de couleur sombre. Je n'aime pas à me faire remarquer. J'ai horreur qu'on me scrute avec curiosité.
Mais au-delà mon apparence vestimentaire impeccable, j'aime prendre soin également de mon corps et qu'il soit à l'image de ma mise, parfait en tout point. De mon visage impassible où peu de sentiments viennent à s'échouer ne serait-ce qu'un instant, à mes gestes calculés au millimètre près. Il n'y a que ma chevelure aussi noire que les ténèbres de mon cœur dont je n'ai pu encore dompter la fougue. De taille inégales, certaines s'arrêtent à hauteur de la nuque tandis que d'autre ont le loisirs de se permettre un peu plus de longueur. D'autres tout aussi rebelles viennent à dissimuler mon regard ardent. Des yeux aussi pourpres que le sang dont j'aime à me délecter. Souvent froids, dardant leur cruauté sur leur proie.
Viennent s'ajouter à cela des lèvres d'une finesse peu commune éclairées par aucun sourire. Presque sans vie, animées seulement à quelques moments par un rictus méprisant.
Mon teint pâle comme de la porcelaine vient compléter ce lugubre portrait. Un teint froid comme la mort, mais à la douceur d'une peau de bébé.
Pour ce qui est de mon corps en générale, on pourra me qualifier de grand et mince. En plus de cela des jambes longues et élancées viendront compléter ce tableau typique d'un Londonien.


*Description mental:
Je suis un démon, cela ne suffit-il pas à vous éclairer quant à mon caractère? Non? Bon et bien pour commencer sachez que je suis une personne imprévisible. Il sera dur pour une personne de prédire mes actes. En effet, je suis d'un tempérament très calme, mais « l'habit ne fait pas le moine », ma nature démoniaque n'est jamais bien loin. Gare à celui qui viendra à me fâcher, il pourrait le regretter amèrement, mais cela vous le comprendrez plus tard. En deçà, je suis quelqu'un de très subtile. Vous en doutiez? Je suis quelqu'un de très manipulateur. Se servir de quelqu'un pour arriver à mon but est quelque chose de vraiment délectable pour moi. J'aime me sentir supérieur aux autres. Cette sécurité qu'on ressent lorsqu'on sait que l'autre ne peut rien faire contre nous, qu'on détient le pouvoir, le contrôle. Car j'aime tout contrôler... Une situation qui m'échappe et là je perds tout contrôle, et c'est à ce moment là que je deviendrais le plus imprévisible.
Je suis également quelqu'un qui aime torturer les autres. Que ce soit autant physiquement que mentalement, j'aime à voir leur souffrance, cette douleur que j'avais moi-même ressenti et que maintenant j'impose aux autres. Toujours cette sécurité... Je suis comme les autres, j'ai souffert alors pourquoi pas eux. Pourquoi serais-je le seul à avoir ressenti cela. Il faut que tout le monde connaisse cela, ainsi mon sentiment d'impuissance que j'avais ressenti, cette humiliation sera moins douloureuse. Cette incompréhension, ce « pourquoi moi? »... Ma proie favorite reste les humains... Si ignorant de tout, si inconscient et frivole. D'un certain côté je les envies, autant que je les hais. Et surtout ces Aristocrates à qui tout souri. Cette vie si facile faite de plaisir. Ils n'auront jamais droit d'y toucher tant que je serai là... Ainsi la vue du sang me réconforte et m'apaise.
Je suis également quelqu'un de très solitaire. Je ne serais ainsi jamais parmi une conversation. C'est d'un ennui profond et d'une inutilité parfaite. La seule compagnie que je m'autorise est celle d'un soir. Je ne m'attache à personne. Comment le pourrais-je, je n'ai jamais appris ce que c'était qu'avoir des sentiments envers quelqu'un. Ce sentiment d'amour, de sécurité, de bien-être, de bonheur... Je suis tel un enfant ignorant devant ces choses-là... Je ne les connais pas, ne les ais jamais eu ni même ressenti. Ce qui en fait des sentiments dont j'ai peur. Peur de ne pas savoir faire, peur d'avoir l'audace de ressentir. J'ai l'impression de ne pas y avoir droit...
Ainsi toute cette vie solitaire m'a fait devenir quelqu'un de très possessif et jaloux. Les seuls choses qui sont à moi le resteront. A cela j'y veillerai personnellement.
Je suis aussi quelqu'un de très orgueilleux. Orgueilleux de ce que je suis devenu par mes seuls moyens, seul, sans l'aide de personne! Ainsi il s'avère que j'en deviens assez capricieux. Ce que je veux, je l'aurai par tous les moyens, il ne peut en être autrement! Et vous le devinerez donc, ce qui fait de moi également quelqu'un de très têtu, et arrêté sur ses idées.
Mon arrogance est aussi une arme face aux autres. Cela me plaît des les choquer, les fâcher ou bien même susciter des réactions violentes chez eux. C'est bien là le début de mes manipulations quotidiennes...

*Histoire:
Vous souhaitez que je vous compte à présent mon passé... C'est là une chose fort déplaisante, je dois l'avouer. * Soupire * Si c'est là une chose obligatoire alors hâtons-nous...* Son regard devint alors distant alors qu'il se replongeait dans les souvenirs de son enfance... *

La naissance d'Adrian fut toujours quelque chose dont il devait s'excuser. Il n'avait aucune connaissance de son père. Et sa mère comme folle, le haïssais profondément.
Mais commençons par le début de notre histoire, là où Adrian ne peut se souvenir, là où Adrian ne peut savoir...


Londres, 1789.


La création d'Adrian ne figure pas dans celle des plus joyeuse... Tout se passa dans les rues de Londres, vers minuit, quand sa mère fit une rencontre qu'elle regretta toute sa vie. C'est sur les pavés mouillés de cette rue, dans les pleurs, la terreur et la douleur qu'Adrian fut procréer. Dans cette vertu volée et souillée par la honte et le déshonneur. Dans ce démon aux pulsions satisfaites par ce corps prit par la force, et abandonné comme mort dans la nuit froide et hivernale de Londres. Mais contre toute attente, celle-ci se releva et alla voir sa famille, le regard perdu, égarée, la femme joyeuse et heureuse de vivre laissée derrière elle dans la ruelle glacée.
L'accueil des parents de cette femme ne furent pas ce à quoi on pourrait s'attendre. Soucieux de leur place dans la société et du regard de leur proche quant au viol de leur fille, ils la rejetèrent, et lui retirèrent tout son héritage. En l'espace de quelques heures, elle se retrouva à la rue, habillé d'une simple guenille, sans le sous, et comme elle allait le découvrir plus tard, grosse de l'enfant de son agresseur.
Toutes les larmes de son corps ne suffirent pas à combler sa peine et son dégoût. Elle avait beau se rincer le corps, le laver à grandes eaux, elle se sentait souillée et fautive. Pourquoi était-elle aller dans cette rue à ce moment? Qu'est-ce qu'elle avait fait pour lui donner envie d'ainsi profiter d'elle?
S'aimant de moins en moins, et ne se supportant plus, elle perdit toute trace du respect qu'elle avait envers elle et son corps. Elle vendit ses services la nuit, afin d'apporter quelques plaisirs au badauds voulant bien d'elle en échange de quelques sous. Elle put ainsi se trouver une chambre au sein de Londres pour une bouchée de pain. Enfin chambre... Parlons plutôt de taudis.
Lorsqu'elle compris qu'elle était enceinte, elle sombra dans l'alcool, s'y oublia elle ainsi que sa vie. Elle fit tout pour perdre cet enfant, mais n'ayant déjà guère de quoi se nourrir et se loger, elle ne put se payer les services d'un médecin pour l'aider à aboutir à son projet.
C'est ainsi que le petit Adrian naquit. Dans ce taudis obscure, rongé par les rats et la vermine. Sans soin médicaux et sans chaleur. Sa mère voulut tout d'abord l'abandonner, mais face aux pleurs répétitifs de l'enfant et la peur que ses voisins ne la dénonce pour ne pas s'en être occuper voire même l'avoir tuée, à contre cœur elle approcha ce petit être de son sein et commença à lui donner le strict minimum pour sa survie. Élevé sans amour, maigre, transis de froid et de faim, tel était Adrian dans son enfance.
Puis Adrian commença à faire ses premiers pas et à parler. Il grandissait à la plus grande peur de sa mère...

Londres, 1794.

Un petit garçon à la chevelure noir jouait dans cette petite pièce vétuste. Sur son visage s'étalait un petit sourire satisfait. Il venait de trouver de quoi jouer dans ces journées mornes et ennuyeuses. Dans sa main, un petite araignée grimpait le long de son pouce. « Sa première amie » avait-il déclaré. En effet, il n'était jamais sortit de cette pièce, jamais il n'avait découvert la lumière du jour, et il n'avait jamais vu personne en dehors de sa mère. Sa mère... Elle allait bientôt arriver! Si elle voyait ce pauvre animal dans la main de l'enfant, elle allait encore plonger dans une de ces crises de folie où elle se mettait à crier et pleurer... A regret l'enfant posa l'araignée près d'un trou se trouvant dans la plainte au coin de la pièce.
Le porte s'ouvrit alors laissant voir dans l'encadrement de la porte, une femme saoule, aux vêtements à moitié remis de ses derniers ébats, à la chevelure en bataille et au regard vague. Son regard se posa sur l'enfant assis sagement dans un coin, et son regard croisa alors celui pourpre de son fils. Une vague de terreur l'envahi. Des yeux rouges... Comme cette nuit-là, comme ceux de son père!! Elle poussa alors un cri étouffé avant de lancer sauvagement à son fils dans un élan de folie pure:


« Pourquoi me regardes-tu comme ça? Pourquoi es-tu encore là?!! Tu veux me tuer avoues le! Tu ne veux que ma mort! »


L'enfant se replia dans un coin à ses mots, prêt à recevoir le torrent de coups accompagnant comme toujours ce genre de déclaration. Sa mère s'avança vers lui, avant de lever impitoyablement la main vers lui prêt à frapper. Le cœur de l'enfant se serra, lourd de douleur et de questions gardées à double-tour dans leur coquille. Avalanche de pourquoi? Le premier coup tomba, suivi bientôt de plusieurs autres. « Pardon » ne cessait de répéter l'enfant, tandis que pour la mère il ne s'agissait que de ces mots cruels: « je te hais! » comme si elle psalmodiait contre le mauvais sort. Des larmes amères coulaient le long des joues d'Adrian. Des larmes qui ne comprenaient pas pourquoi il avait mérité pareil traitement. Il n'avait pas bouger de la journée, il se faisait toujours aussi discret possible pour ne pas embêter sa mère. Il se cachait même dans l'armoire du taudis lorsque sa mère trop saoule pour faire deux pas, se laisser prendre comme un animal dans ce quelle appelait une maison.
Décadence... Voilà tout ce que montrait cette mère à son fils. Haine, rejet, indifférence... Pour elle il n'était rien.

Enfin elle arrêta ses coups. Son cœur n'était pas plus léger pour autant. Pourquoi cela ne l'apaisait pas que de se venger sur le fruit de ce démon qui l'avait sali. Et pourquoi ces yeux rouges qui se posait sur elle la regardait avec tant de souffrance et de tristesse. Ils n'étaient pas comme ça, pourquoi avaient-ils changés? Elle ne voulait pas de compassion, elle voulait juste le détruire, détruire ces deux lobes qui la regardait. Elle s'effondra au sol, tremblante, partagé entre des tremblement de colère, de peur et de haine, et ceux provoqué par un coma éthylique débutant. Des larmes coulaient le long de ses joues encrassé par les rues malfamé de Londres.

L'enfant, transis de douleur, se releva et alla serrer sa mère dans ses bras, malgré ce qu'il venait de se passer.


« Ne pleure pas maman... Excuse-moi maman... »


Petit-à petit les larmes cessèrent de couler, afin que la femme sombre dans un sommeil profond dû à son absorption d'alcool.
L'enfant avait l'habitude que sa mère soit dans cet état. Il alla donc chercher une vieille couverture trouée, et en recouvrit sa mère, avant de retourner là où sa « première amie » avait été déposée. Mais elle était partit elle aussi. Il était seul, tout seul dans ce monde d'obscurité. Il ramena ses jambes contre sa poitrine et sanglota en se balançant nerveusement dans un mouvement mécanique.
Non la vie n'était vraiment pas facile, surtout quand, comme pour Adrian, on ne connaissait pas la raison de cette haine qui lui était vouée. Car jamais sa mère ne lui parla, et ne lui parlera des conditions de sa création et de sa naissance...

Londres, 1804.

Adrian avait grandit. Autant que la folie de sa mère, qui ne supportait plus à présent de le voir. Les seuls moments où elle rentrait était pour cuver son alcool, ou bien frapper et insulter son enfant. L'enfant quant à lui ne répondait rien, se sentant fautif. Il n'avait pas mérité d'être né, s'il était là et qu'elle le frappait c'est qu'il n'en avait pas le droit. Après tout il devait s'avouer chanceux d'avoir un toit et un bout de pain voire quelques fois quelques légumes à manger. Non il n'avait pas le droit de se plaindre. La vie s'écoulait lentement, tristement, mais Adrian ne faisait rien pour la changer. Bien sûr il avait appris à vivre sans amour, apprit à se débrouiller seul. Il s'était même détaché de cet amour maternel dont il avait besoin. A présent il ne ressentait plus rien pour sa mère. Il était vide. Vide de tout sentiment.
C'est un soir que sa mère revint une fois de plus saoule, que tout changea. Une fois encore il fut la cible de la folie de sa mère, recevant sans broncher ses coups. Répétitifs, sans jamais faiblir, dans la folie du moment.
L'enfant releva le bras pour se protéger de cette douleur. Il voulait que ça s'arrête, qu'elle sombre encore dans son coma afin qu'il ait enfin la paix. Et son vœux s'exauça mais pas de la manière dont il voulait. Dans la pièce vola alors un miroir brisé posé dans un coin, s'écrasant alors sur le crâne de la pauvre femme. Celle-ci surprise et à moitié assommé tomba face au choc. Malheureusement se trouvait là un tabouret. Se réceptionnant la nuque dessus, celle-ci se brisa, mettant ainsi fin au calvaire de la vie de cette mère, et par ailleurs de son fils.
Celui-ci ouvrit des yeux surprit, voyant du sang couler du crâne de sa mère, resté les yeux ouverts de surprise. Il s'avança prudemment vers elle, avant de la prendre par les épaules et de commencer à la secouer, la tête de la pauvre femme se ballottant au rythme des secousses de son fils. Mais rien à faire, la femme de bougeait plus, et l'enfant comprit alors qu'elle était morte. C'est lui, lui qui l'avait tué. Lui qui avait fait venir ce miroir sur son crâne. Tout était sa faute encore une fois!
Il poussa un cri de terreur. Qu'allait-il faire tout seul? Qu'allait-il devenir?!

Il se releva, secoué de tremblement. Maintenant qu'il était libre de faire ce qu'il voulait, il ne savait pas quoi faire de sa liberté. Encore sous le choc, il alla se recroqueviller dans un coin de la pièce, terrifié. Il resta ainsi plusieurs jours, sans oser sortir ni manger, jusqu'à ce que la faim ne se fasse plus forte, et qu'il ne tienne plus à regarder sa mère étendu au sol devant lui.
Il osa alors s'aventurer dehors, pour la première fois de sa vie... Le soleil de cette journée l'aveugla. Ses yeux n'avait jamais vu la lumière. Il dût mettre plusieurs minutes avant de pouvoir ouvrir un minimum les yeux, mais la douleur que lui causait le soleil dura plusieurs jours.
Commença alors les découvertes d'un nouvel univers. Lui qui n'avait connu que le taudis où il habitait avec sa mère apprenait maintenant à connaître le monde extérieur. Il voyait de nouveaux visages, découvrait des choses qu'il n'avait jamais penser pouvoir ne serait-ce même qu'exister. Tout était curiosité et fascination.
Les premiers jours furent difficiles. Manger était chose rare, et dormir au chaud encore plus. Bien vite il comprit que s'il voulait pouvoir manger il lui faudrait voler. Voler également pour se loger, mais aussi pour s'habiller. En voyant les gentilshommes dans leurs beaux habits il se sentait humilié, relégué plus bas que les rats. Il prit conscience également de l'importance que cela leur donnait. Tout le monde faisait place à ces personnes si biens habillées, tout le monde leur parlait avec politesse et même déférence. Adrian se mit donc en tête de devenir comme eux. Il voulait avoir ce qu'il n'avait jamais pu avoir, cette part de luxe qui était pour lui totalement étrangère.
Mais d'abord, il voulait découvrir le monde, et explorer le plus de lieux possibles.
Il partit donc pour la France...

Londres, 1822.

Retour à Londres, après un voyage autour du monde à apprendre tout ce qu'il pouvait. Il avait apprit à lire et à écrire, à parler aussi bien le Français que l'Anglais. Il avait même économisé une petite somme coquette après tous ces longs voyages. Mais il avait changé. Profondément changé. Il n'était plus le petit garçon innocent qui se faisait frapper par sa mère. Il en était maintenant venu à penser qu'elle n'avait eu que ce qu'elle méritait. Que c'était de la vermine, une pauvre catin sans importance. Et puis il avait été si facile de la tuer, elle était si faible, comme tous les humains d'ailleurs. Des instincts sanguinaires s'étaient éveillés en lui. Il traquait à présent ses proies, leur infligeant de la souffrance, pour qu'ils comprennent que la vie n'était pas un cadeau mais plutôt un enfer. Il pensait ainsi soulager sa peine, mais rien ne changeait, il était condamné à souffrir toute sa vie.
Ainsi il séduisait, traquait, manipulait et tuait toute personne qu'il avait pris pour cible. Il en profitait pour leur voler leur bien, prendre leur argent, et puis élire demeure pour quelque temps dans leur manoir, car oui, il aimait prendre les aristocrates pour cible, jusqu'à ce qu'il ait une nouvelle personne en vue. De la décadence, c'était bien ce que sa mère lui avait apprit jusque là non?
Il était devenu sadique et sanguinaire, apprenant à se servir de ses dons qu'il avait hérités de sa nature démoniaque.
Il n'avait aucune attache, tout ce qu'il faisait c'était tirer profit de tout ce qu'une personne pouvait lui apporter avant de passer à la suivante...

Mais Londres lui manquait. C'était la ville où il avait apprit ce qu'était la vie, il souhaitait y retourner. Ainsi signa une nouvelle vague de meurtre à Londres.


* Le démon sembla revenir de ses pensées *
Tout cela est bien loin maintenant. Mon apparence semble s'être figé dans le temps, et j'ai maintenant élu domicile définitivement à Londres. Une chose est sûre je ne compte pas m'arrêter là dans mes méfaits... J'ai toujours dû m'excuser de ma naissance, mais à présent au tour des autres de s'excuser pour moi!

Autre:
Je suis obsédé par la perfection. Je n'ai pas droit à l'erreur, et ne m'autorise aucun faux pas.
Je ne supporte pas qu'on me touche sans mon autorisation.
J'ai une soif d'apprendre et de savoir sans limite. J'aime à découvrir de nouvelles choses et suis curieux de tout.


*Code de validation:
Code bon

* VOUS *


Prénom:
Héhé devinez le donc :p
*Âge:
Suffisamment d'années comme ça :p
Comment avez vous découvert ce forum ?
euh je ne me souviens plus, je l'avais repéré alors que je faisais une recherche pour trouver un forum^^
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William Smith


William Smith


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MessageSujet: Re: Adrian Lewis pour votre déplaisir [FINI]   Adrian Lewis pour votre déplaisir [FINI] Icon_minitimeMar 11 Jan - 20:50

Hello ~

Eh bien eh bien... J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ta présentation !! J'aime beaucoup ton personnage et son histoire, franchement, s'était très agréable à lire ! Un tueur obsédé par la perfection, sa sonne bien *w* ! Encore plus quand c'est une créature...

Tu es donc validé ^w^ ! Amuse toi bien parmi nous !
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Adrian Lewis


Adrian Lewis


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MessageSujet: Re: Adrian Lewis pour votre déplaisir [FINI]   Adrian Lewis pour votre déplaisir [FINI] Icon_minitimeMer 12 Jan - 16:06

Merci beaucoup William. Ça me fait plaisir si ma fiche plaît^^
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Louise Weiss


Louise Weiss


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MessageSujet: Re: Adrian Lewis pour votre déplaisir [FINI]   Adrian Lewis pour votre déplaisir [FINI] Icon_minitimeSam 15 Jan - 19:26

Devinez donc ?
Aucune idée o_o
Mais bienvenue à toi !
Très sympathique fiche Wink
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Adrian Lewis


Adrian Lewis


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MessageSujet: Re: Adrian Lewis pour votre déplaisir [FINI]   Adrian Lewis pour votre déplaisir [FINI] Icon_minitimeDim 16 Jan - 2:08

Merci à toi Louise Smile
Je ne pense pas qu'on se connaisse sauf par le plus grand des hasards xD
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Azaël Bringhton


Azaël Bringhton


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MessageSujet: Re: Adrian Lewis pour votre déplaisir [FINI]   Adrian Lewis pour votre déplaisir [FINI] Icon_minitimeMer 19 Jan - 15:40

Welcome my dear !
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Adrian Lewis


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MessageSujet: Re: Adrian Lewis pour votre déplaisir [FINI]   Adrian Lewis pour votre déplaisir [FINI] Icon_minitimeMer 19 Jan - 16:11

Merci Azaël^^
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MessageSujet: Re: Adrian Lewis pour votre déplaisir [FINI]   Adrian Lewis pour votre déplaisir [FINI] Icon_minitime

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