*Nom: Millegan
*Prénom : Rebecca Autumn
*Âge : 17 ans à sa mort. Elle ne se souvient plus de son âge exact, mais il se situerait appromaximativement à 125 années sur Terre.
*Année de naissance : 1774
*Année de décès : 1791
*Race: Créature
*Groupe: Vampire


*Métier : Ayant vu sa vie humaine s’achever assez rapidement, Rebecca n’eut pas le temps de voir une éventuelle carrière débuter. De plus, le fait qu’elle ait vécu au XVIIIème siècle explique que son avenir ne se trouvait point dans un métier, mais en tant qu’épouse d’une quelconque personne assez riche pour subvenir à ses besoins.
En tant que Vampire, elle n’a absolument pas besoin de gagner de l’argent afin de survivre. En effet, la nourriture pour cette espèce étant relativement abondante, il n’est pas nécessairement pour Rebecca de se trouver un travail. Cependant, rien que pour le plaisir d’entendre le bruit de l’argent dans son porte-monnaie, elle effectue de temps en temps quelques missions louches à travers Londres. Ces missions ont généralement pour objectif d’éradiquer quelqu’un en pleine nuit…Quoi de plus facile pour un Vampire ?
*Intention envers les humain: Son intention envers les humains est purement mauvaise. En effet, Rebecca ne voit aucun intérêt à se montrer respectueux envers ces personnes aux coups bas qui cherchent à éliminer les créatures de son espèce. Pour elle, c’est une lutte sans fin entre les deux.
*Lieu de résidence: Waldon Creek


*Description physique : Quel est le physique de notre « jeune » Vampire ?
Pour débuter, commençons par la description que l’on ferait de la jeune fille par un simple coup d’œil : moyennement grande, plutôt élancée, un air grave et des cheveux de couleur foncée. Des yeux soulignés de noir, dont les pupilles d’un bleu clair scintillant ne sont accessibles que par les créatures immortelles. Cependant, il faut noter que la nuit venant (moment de la journée où Rebecca sort le plus, donc), ce même regard arbore une couleur différente, se rapprochant plus du rouge éclatant que le sang procure. Est-ce en vue de son dîner que ses yeux décident de changer de couleur ? Elle n’en sait strictement rien. Mais quelque soit la couleur peu commune que ses yeux décident d’apposer, ils procurent un certain sentiment d’angoisse.
Quoi de plus normal après tout, ça n’a jamais été très rassurant de savoir qu’une lueur rouge vous fixe depuis quelques dizaines de minutes, n’est-ce pas ?
Il est également certain que si l’on ne s’attarde pas sur son physique, on pourrait facilement croire que Rebecca est une prostituée : sa manière de mettre en valeur son visage, de marcher…Il n’en est cependant rien. Car même si, certes, Rebecca a pu abuser de son physique plutôt avantageux pour attirer ses victimes, elle n’a jamais daigné se rabaisser à ce qu’elle considère comme des activités « dégradantes » et « peu dignes d’intérêt ».
Si on l’observe plus attentivement, on remarquera qu’elle se tient d’une manière plutôt élégante et veille à adopter toujours une marche plutôt gracieuse. Ses cheveux qui peuvent sembler désordonnés à première vue sont en réalité maniés et coiffés avec soin.
Son expression en revanche, n’a clairement rien de sympathique. Bien sûr, il lui est aisé de sourire et de se plier aux exigences des autres afin d’obtenir ce qu’elle veut. Elle a été élevée ainsi après tout.

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*Description mentale : La manière de penser de Rebecca reste extrêmement complexe, et il est assez dur de pouvoir suivre un de ses raisonnements. Non pas qu’elle soit d’une intelligence des plus extrêmes, mais disons que sa manière de voir les choses reste assez particulière.
Les humains sont des outils, et les 130 années qu’elle a passé à Londres à vagabonder lui ont appris à aisément les manipuler. Ils sont si adorables et naïfs, à croire qu’il existe encore des créatures ayant une conscience assez lucide pour devenir amis avec eux ! Pourquoi ne pas en profiter ? Quel délice de pouvoir briser leurs espérances si futiles !
Et pour ceux qui sont assez raisonnables pour savoir qu’une amitié est impossible ? Ceux là, Rebecca se fait un plaisir de les écraser, d’une mort lente, histoire qu’ils retiennent que oui, leur lutte contre les créatures, cette lutte qu’ils pensent pouvoir remporter (qu’ils sont mignons quand même !) est une cause perdue.
Lorsqu’elle était humaine, Rebecca était plutôt du genre passif. A observer et enregistrer chaque parole, chaque mouvement, chaque fait et geste d’une personne. A tout analyser afin d’en tirer le maximum d’informations. Puis, une fois le tout réuni, elle prenait un malin plaisir à les humilier…En toute discrétion bien entendu ! Après tout, qui aurait pu croire qu’une fillette aussi inoffensive et si timide que Rebecca ait pu monter un coup pareil ?
Agir dans l’ombre à toujours été la manière favorite de procéder de la jeune fille.
Il est nécessaire de savoir que, même si elle reste incroyablement sûre d’elle, Rebecca n’est pas prétentieuse. Entre autre, il peut lui arriver de se montrer relativement clémente avec ses victimes, pouvant même leur laisser la vie sauve. Cependant, cette gentillesse ne se montre souvent qu’avec les hommes. De la même façon, il lui arrive d’être extrêmement gentille en fonction de la personne qu’elle rencontre. Sans doute que cette personne en question lui rappelle quelqu’un de son passé, qui sait ? On ne se refait pas.

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*Histoire :

Je ne vois pas trop ce que ça peut vous apporter d’en savoir plus sur ma vie passée.
Mais puisque c’est mon tour après tout, pourquoi pas ?
Enlevez votre idée du conte de fée merveilleux à la Candide, même si le contexte peut paraître similaire.
Ceci est l’histoire d’une vie brisée.
D’une vie inachevée.
D’une vie dont il ne reste que le souvenir.

Un cri déchirant la nuit noire, une femme rendant son dernier souffle tandis qu’une nouvelle vie vient de respirer pour la première fois.
Il n’était pas rare que les femmes donnant naissance à un nouveau né meurent après l’accouchement. Et c’est exactement ce qu’il s’était produit cette nuit là. Du moins, c’est ce qu’on m’avait raconté. « Ta pauvre mère n’eu le plaisir de goûter à ce nouveau statut que pendant quelques secondes, elle n’eut même pas le temps de te prendre dans tes bras. Ni même de choisir elle-même ton prénom. » Ce sont les paroles que j’ai entendu un nombre incalculable de fois. Et pourtant, moi, j’étais sûre que c’était autre chose qui avait conduit à la mort de la personne que j’aurais dû appeler « mère ».
Oh ! Mais je n’étais absolument pas à plaindre. Le manque de présence maternel ne m’a jamais vraiment affectée. Par ailleurs, j’étais toujours très bien entourée. Mon père, mes deux grandes sœurs, mon oncle, ma tante, et les domestiques. Ne vous l’avais-je donc point précisé ? Je suis née dans une famille aristocrate, dans la capitale même de l’Angleterre avec comme logement un magnifique manoir qui n’avait strictement rien à envier aux grands châteaux vides et angoissants que l’on retrouve dans les contes de fée. C’est que j’étais une fille de bonne famille moi, et apparemment, cela incluait le fait que je sois toujours souriante, que je sois malléable. J’avoue ne pas avoir protesté. Qui aurait cru que sous ces visages bienveillants se cachaient des envoyés du diable ? La vie du XVIIIème siècle était une guerre entre les masques.
J’ai assez vécu, suffisamment pour reconnaître à quel point la nature humaine est détestable.

Je ne peux pas vraiment étaler ma vie humaine sur des pages et des pages. Je n’ai vécu que dix-sept petites années, je vous le rappelle quand même. D’ailleurs, je ne peux pas vraiment dire que je m’en souviens dans les moindres détails. Cependant, je peux vous raconter les grandes étapes qui ont marqué mon ancienne existence. Aussi peu nombreuses soient-elles.
J’ai grandi dans un excellent environnement donc. Seulement, mon père fut muté en France pour une raison que j’ignorais (et ignore toujours d’ailleurs) totalement. Il me semble que je devais avoir aux alentours de 13 ans. Quelle idée de se rendre dans un pays dont la révolution était imminente…M’enfin, je ne comprendrais jamais la manière de penser des adultes. Quel était leur problème ? Leur matière grise avait-elle disparu dès qu’ils avaient atteint la majorité ? Ce n’était pas improbable…
Mais ça, j’étais trop jeune pour le savoir. C’est pourquoi j’avais suivi toute ma famille sur le sol francophone. Si mes souvenirs sont bons, c’était en l’année 1787. Quand je vous dis que les adultes sont inconscients.
A peine arrivés, nous avons tout de suite été mal accueillis. Nos prétendus voisins bourgeois nous lançaient des regards méprisants, ils nous transperçaient de leurs paroles teintées de poison. N’étaient-ils pas nobles eux-aussi ? En réalité, non, ils ne l’étaient pas.
Deux longues années j’ai vécu dans ces conditions. A subir les moqueries incessantes de ces misérables insectes, à me sentir moi-même pitoyable et inférieure face à un tel groupe de rapaces. Mais que pouvait faire une étrangère comme moi, à part encaisser en souriant ? Rien d’autre. Je n’étais pas assez forte, pas assez agile, et pas assez intelligente non plus. Non, j’étais un concentré de naïveté et, j’étais persuadée que le jour où je pourrais enfin leur faire payer ces affronts ne serait plus très loin.
Lorsqu’arriva l’année 1790, mon père jugea raisonnable de nous renvoyer en Angleterre. Mes deux sœurs ainées ont protesté, répétant à ce pauvre homme que l’union faisait la force et qu’il était nécessaire que nous restions en famille. Je n’ai strictement rien dit. A part que moi je souhaitais rentrer. Si elles souhaitaient passer à la guillotine, c’était leur problème après tout.
C’est ainsi que je suis de nouveau montée dans un bateaux puant les cadavres que je suis repartie pour mon pays natal, en compagnie d’une seule de mes sœurs, qui avait été assez lucide pour renoncer à la France. Je n’ai absolument aucune idée de ce qu’il est advenu des mon paternel et de ma deuxième sœur. Mais vu qu’ils ne sont jamais rentrés, je pense qu’il est plus que raisonnable de dire qu’ils ont tout bonnement été privés de leurs têtes.
Certes, Londres ne respirait pas la joie, ni la bonne humeur. Mais c’était toujours mieux que de subir les humiliations de l’autre côté de la Manche. Ici au moins, je pouvais me défendre dans une langue que je parlais depuis que j’étais née. Ce qui était un énorme changement entre nous.
Il ne s’est absolument rien passé d’exceptionnel pendant ma dernière année en tant qu’être humain. J’ai regardé ma sœur pourrir de l’intérieur à attendre que les deux membres restant de ma prétendue famille pointent le bout de leur nez. Quant à moi, de nouveau, je n’ai strictement rien fait. J’attendais un changement, quelque chose qui briserait la monotonie quotidienne, quelque chose qui mettrait un terme à ces années noires.
Et le changement est arrivé.
C’est l’une des rares choses dont je me rappelle encore. Il pleuvait dehors, et les gouttes tapaient fort contre les vitres de notre manoir. Le tonnerre faisait régulièrement entendre sa présence et le vent faisait doucement grincer le parquet. Le décor idéal pour un film d’horreur me direz-vous ? Et vous n’avez pas tord.
C’était à priori une soirée comme les autres. Ma sœur et moi étions au coin du feu, tentant vainement de nous réchauffer.
Nous avons entendu un cri, puis plusieurs.
Je n’ai eu absolument aucun mal à reconnaître les voix de nos domestiques. La femme de chambre, la cuisinière, le majordome même, ils y sont tous passés. Aucun d’entre eux n’a survécu, ou alors, je n’en ai plus conscience.
Ma sœur s’est levée, chancelante, et est partie jeter un coup d’œil à ce spectacle sans doute macabre. Sa silhouette s’éloignant de moi et ouvrant la porte donnant sur le corridor est le dernier souvenir que j’ai d’elle.
Le dernier, avec sa voix cristalline qui me criait désespérément de fuir.
Son sang a giclé sur la porte, souillant par des tâches les meubles aux alentours. Un son lourd m’indiqua qu’elle était probablement tombée, et son bras sans vie dépassait de l’encadrure de la porte. J’eu le temps d’apercevoir d’autres cadavres et leur sang s’étaler sur le sol, avant que nos assassins parvienne jusqu’à moi.
Je n’ai absolument pas bougé. Et pourtant, la fenêtre se trouvait à quelques mètres de moi. Mon cerveau me disait de courir, mais mon corps m’ordonnait de rester.
S’ils étaient plusieurs, je n’en ai vu qu’un. Je me souviendrais toujours de ses yeux d’un bleu ciel profond, de sa voix grave quoique mielleuse, de sa manière de me fixer pendant de longues minutes et de ses mains à la teinte extrêmement pâle.
Je me souviens de son souffle lorsqu’il s’était approché de moi, de son geste qui lui avait permis de me lacérer mon épaule, de sa langue passée sur ma plaie pour qu’il me dise après coup que mon sang avait le goût de la victoire.
Je ne me rappelle plus si je n’avais pas bougé par peur ou par volonté d’y faire face. Toujours était-il qu’il m’avait plaquée contre les pierres froides qui constituaient la cheminée. Il m’a regardé une dernière fois, m’a murmuré des paroles incompréhensible ou que j’ai souhaité oublier.
Présentant ses crocs, il les a plantés en moi.
J’ai senti comme une métamorphose lente. J’avais chaud dans ce corps frigorifié. Je sentais le sang couler, mes pupilles se dilater, mes mains se crisper. J’avais envie de mourir et en même temps de vivre. Un sentiment inexpliqué.
Au bout d’un long moment, il m’a lâchée, me laissant tomber comme une masse sur le sol. Je voyais flou et des voix résonnaient de manière incessantes dans ma tête.

« Si tu es assez forte, tu y survivras »

Y survivre ? Pour quoi faire ? Pour devenir quoi ? Une créature démoniaque à mon tour ? Quand je pense que j’ignorais leur existence jusqu’à ce soir !
Je n’ai absolument plus aucune idée du temps que j’ai passé allongée sur ce sol. J’avais les yeux ouverts, presque sans vie, et je regardais inlassablement le corridor devenu un large tombeau.
Puis, je me suis relevée.
Titubant, mes jambes m’ont portée vers l’unique fenêtre du salon. Dans ce nouveau reflet de ma personne, j’ai constaté la couleur inhabituelle de mes pupilles, devenue aussi bleues que celles de mon agresseur. Mes canines s’étaient elles aussi développée.
Je m’adossais contre le mur.
Combien d’années sont passées depuis que j’incarne cette créature détestable ?

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*Autre: En tant que bonne vampire, Rebecca ne fait aucun effort pour cacher ses jolies canines. Fort heureusement, ses yeux attirent plus souvent l’attention que ses dents développées. Entre autre, elle aime énormément les sucreries. Ses vêtements sont relativement simples en journée (c’est une londonienne typique du XIXème siècle), en revanche, elle préfère des vêtements plus peu ample et plutôt courts la nuit afin de faciliter ses mouvements.
Elle n’est pas très bijoux et ornements, mais elle porte toujours une chaîne en argent autour du cou.


*Code de validation: Andrew le petit vampire
*Prénom : N’en demande pas trop sweetheart.
*Âge: 16 à priori :p
*Comment avez vous découvert ce forum ? Grâce à un partenariat sur DRRR !!!. Qui je suis hein ? Allez devinez, c’pas difficile (:

Yurei/Aiki desu ka ? Non je me trompe sûrement >o<
J'hésite et si je me suis trompée, je veux bien expliquer pourquoi =)
Désolée d'avance~

Bienvenue ici en tout cas !
Ta présentation a superbement commencé !
J'ai hâte de lire l'histoire ! Intéressante Rebecca !

Have fun !

*____* Shizu-chan, comment t'es trop fooorte =O
(Comment tu m'as reconnue è___é ?)
Merci en tout cas -^^-, chui contente d'avoir pu achever l'histoire. Maintenant je peux officiellement dire que ma présentation est terminée 8D !
(J'ai rien oublié hein ? *vérifie*)

Première fois que je m'essaie au style de la première personne, soyez indulgents .___.

Citation :

Allez devinez, c’pas difficile (:

C'est cette phrase qui a tout fait je pense, plus le fait qu'on ait RP ensemble donc j'avais des moyens de reconnaître ton style =)
Si on se fit qu'à l'apparence j'aurais pu dire Yuuki, avec les images tout ça~
Mais la façon d'écrire est radicalement différente 8D
La présence d'un peu d'anglais bien comme il faut ne trompe pas non plus *__*
Puis t'as vu comme je suis attentive quand même ;P

Je dirais que tu n'as rien oublié et que c'est une bonne présentation, plus qu'à attendre un admin ou un modérateur

Muhuhu~ on se fera un RP après le bac ? 8D
( Pour moi t'auras le choix entre deux persos ;D )

Désolée pour le pseudo-flood, promis je recommence pas après ce message =)

Oooy ~ !
Bienvenue ^w^
Sympa la fi-fiche >_<' ! Hâte que tu soit validée ^o^ ~

Hey,vampirella, welcome to London ! I hope that the human will be as your taste [ waaah une phrase avec des fautes <3]

Plus sérieusement, très très belle présentation ! j'ai cru lire du Anne Rice ! En clair c'était vraiment beau et merveilleux ! Tu m'as vraiment plongé dans l'ambiance glauque du XIX et par beau temps en plus ! J'avais l'impression qu'il pleuvait dehors et qu'il faisait nuit ! Donc je te tire mon chapeau !!! Puis...l'avatar...Waho ! Une de mes images favorites sur DA !! Et la mise en page est superbe **

BREF VALIDEE !!

Veux-tu une maison ?? où ??

Alice : Merciiii Au plaisir de RP avec une vampire dans un futur proche pitêtre :3 ?

Will : IZAAAAAAAA-CH*SBAF* Ahem, merci pour tous ces beaux compliments <3 (l'une de mes images favorites aussi, il FALLAIT que je la mette 8D)
Hm...je suppose que Rebecca n'aurait pas fait l'effort de chercher un autre logement, le Manoir des Millegan à Waldon Creek serait possible .__. ?

Rp' ? ~
Pourquoi pas, après tout ? ~
Mais, je préviens d'avance, mon style d'écrire n'est pas magnifique du tout... ='D

Bref... ^^