Que s'est-il vraiment passé? [libre]

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[Tout d'abord ma question est si on ne sait pas avec qui faire un RP, mettre libre entre crochet, c'est bon? Merci.]

- Introduction -

Une nuit fraîche dans les rues de Londres près d'un café. Fye devait chercher quelque chose puisqu'il semblait regarder de tous sens. Était-il effrayé? Non peut-être pas. Il devait être presque minuit lorsqu'il trouva un humain qui pourrait, et il le souhaitait, devenir un quelconque ami. Il se décida d'aller voir cet humain. Au plus grand des hasard c'était un homme qui devait avoir la vingtaine. Disons 27 ans. C'est l'âge que Fye lui donnait.

- Bonsoir monsieur.

Dit-il calmement en souriant. L'autre homme fut surpris mais ne répondit pas. Fye le fixa et tous deux se dévisageaient.

- Que voulez-vous?

Avait dit l'homme de façon un peu effronté. Il lisait un journal du Times et semblait pressé de rentrer à la maison. Il regardait sans arrêt sa montre. Qu'attendait-il?

- Voulez-vous que je vous aide à passer le temps?

Il souriait encore, sachant que l'homme attendait quelque chose. Ce dernier se tourna vers Fye pour lui demander à nouveau ce qu'il veut. Fye répondit calmement qu'il cherchait un ami. L'homme commença à pouffer de rire mais fut complètement stoppé. Fye redoutait ce genre de réponse et commença à faire des siennes. A charmer pour être plus précis. Vous l'avez compris oui. L'incube charme cet homme non pour son physique mais parce qu'il souhaitait réellement avoir quelqu'un à ses côtés. L'homme fit tomber son journal à terre et suivit Fye et personne n'avait remarqué quoi que ce soit d'étrange.

Il est minuit. Fye bloqua l'homme contre un mur dans un angle mort et sombre. Il continuait de lui sourire. Il avait aussitôt rompu le charme et l'homme commençait à avoir peur.

- Vous n'avez pas été très gentil avec moi vous savez? Je n'ai pas été méchant avec vous moi.
- Ce n'est pas une raison pour aborder les gens de telle façon!
- Silence!

Fye l'avait dit doucement, comme le murmure d'un vent, en passant son index sur les lèvres de l'homme. Un clin d'oeil suivit du même sourire, il sortit un poignard qu'il avait trouvé quelque part durant son errance. L'homme se mit à genou, implorant le pardon, trop peur il avait.

- Vous avez peur? Vous ne devriez pas. Après tout chacun finit par mourir un jour. Rassurez-vous ça ne fait pas mal. J'irai très vite puisque vous avez imploré le pardon.
- Ne faites pas cela.
- Trop tard...

...Un cri déchira la ruelle...

Le soleil se lève au dessus de l'High Park dans lequel Fye s'est assis sur un banc. Il est seul comme à son habitude. Supposons, dans la nuit dernière que Fye avait assassiné l'homme dont le journal parle aujourd'hui. Étrangement il n'a aucune trace de sang sur lui. Mais il n'avait pas non plus gardé le poignard qu'il avait. Il regarda son reflet dans l'eau d'une quelconque fontaine puis se parla à lui-même.

- Je n'ai rien fait cette fois-ci.

Il sourit encore. A croire qu'il ne sait faire que cela. Mais dans ses yeux, la tristesse. Celle de ne pouvoir avoir d'ami. Est-ce par rapport à ce qu'il soit différent des autres tout comme les autres races? Juste parce qu'il n'est pas un humain? Ou bien juste parce qu'il s'y prenait mal avec les autres? Nous le saurons plus tard, pour le moment nous allons nous penchez sur le présent...

« WHO'S THAT STRANGE GUY ? »

Toute la ville e Londres était en émoi ce jour là. Un nouveau meurtre venait d'être perpétré. Était-ce Jack the ripper ? Ou bien un autre tueur en série ? Telle était la question et celle-ci trottait bien entendu dans le pauvre esprit de Luccio après qu'il ai lu le quotidiens. Visiblement, l'Angleterre était pleine de mystère...Et de dangereux psychopathes. Tant de meurtres étaient recensés chaque jour dans le Times, si bien que le blondinet ne savait plus où donner de la tête ! Mais il faut dire que cette affaire avait su tout de suite attirer son attention. En effet, aucune trace du meurtrier, les policiers n'avaient même pas retrouvé l'arme du crime. Tout ce qu'il y avait, c'était un bain de sang. Cette scène rappelait bien entendu les crimes si bien connu de Jack. Mais encore une fois, la question se posait, était-ce bien lui ? Étant donné que la victime était cette fois un homme et que l'éventreur ne s'attaquait qu'au prostituée, cela semblait...

Enfin bref, tout cela pour dire que, à peine levée et habillé, un scones dans la bouche, le jeune franco-italien avait fuit sa demeure pour aller se mêler à la grande mer noire qu'était les habitant de Londres. Bien entendu, le jeune noble ne portait pas l'une de ses tenues chics avec lesquelles il aimait tant faire mourir de jalousie ses «amis» de la haute bourgeoisie. Non, vraiment, une tenue pareille n'aurait pas était de circonstance ! Luccio n'aimait passer inaperçu durant ses enquêtes, c'est pourquoi il se contentait de porter la tenue que n'importe quel orphelin aurait put vêtir. C'est à dire: une gavroche de tissus marron foncé, une pauvre chemise blanche..ou du moins qu'il l'eut été, recouverte par une veste marron-grisâtre tout aussi usée, un pantalon écossé s'arrêtant au haut de ses chevilles ainsi que deux petites chausses de cuir assez vieille. Avec cela, le jeune garçon était sûr de se mêler à la foule sans aucun problème. Néanmoins, le fait qu'il ai choisis de se faire passer pour un avorton plutôt qu'une fille de bonne famille pourrai compliquer ses recherches. Il est bien connu que certaines personnes s'avèrent être bien plus aimable avec les demoiselle plutôt qu'avec la gente masculine. Mais bon, si quelques gens du peuple ne désireraient pas lui parler, quelques penny leur délieraient surement la langue.

Les recherches commencèrent donc vers 6 heures du matin, dans le quartier West end, pour interroger les quelques lèves tôt, les commerçants entre autre. Ils sont toujours plein d'informations, même si certaines ne sont que des racontars ! Après tout, ils ont l'habitude de discuter avec leur clients qui leur cèdent quelques information sur les nouvelles fraiches. Certain conseillèrent au jeune garçon de se rendre à White Chapel, ce qu'il fit. Déjà une heure de marche... Là -bas, à part quelques homme affalé sur les pavés encore humide, tentant de récupérer d'une nuit alcoolisée, Luccio ne trouva rien de bien intéressant. Ce quartier était plutôt mort durant le jour. Jusque là, s'en suivit de nombreux allé retour, de Thames street jusqu'à Fenchurch, de King's Cross à Picadili. Bref, une sacrée trotte en somme. C'est ainsi que, épuisé par tant de marche, Luccio se retrouva par miracle devant Hight park où il passa mollement les grilles du portail avant de se laisser tomber sur un banc, reprenant bruyamment son souffle.

Enfin un pue de repos ! Luccio se retourna, souhaitant profiter du paysage matinal avant de voir...un homme, grand blond et drôlement habillé - mais qui était-il pour juger les tenues des gens du peuple? -, assis juste à côté de lui. Le jeune garçon s'en voulu un instant d'avoir fait preuve d'un manque de politesse si flagrant. Néanmoins, l'homme ne semblait pas gêné, plutôt souriant, un journal à la main. Mais le petit marquis, n'oubliant pas la politesse, s'excusa tout de même.

« Excusez moi si je vous ai dérangé monsieur ! Ce n'était pas mon intention, je ne vous avez pas remarqué...»

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What's really happened?

Fye se doutait bien que des recherches avaient commencé. Il ne s'était pas reposé de la nuit trop occupé à fuir. Un nouveau meurtre avait eu lieu. Et comme à son habitude, il souriait. Il tenait donc ce journal, le Times, journal très populaire parmi les gens. C'était dedans qu'il avait su pour l'homme. Les conditions dans lesquelles il avait rendu l'âme. Il était mort poignardé d'une bonne dizaine de coups de couteau. L'arme n'ayant pas été retrouvé, les recherches s'étaient intensifiées. Quelque chose d'étrange s'était tramée. En fait, si on avait plus d'indices on aurait déjà trouvé la réponse. Nous pouvons éliminer l'éventreur de la liste des suspects, pour la simple raison qu'il ne tue pas d'hommes et cet homme-là n'avait rien d'un prostitué. Y aurait-il donc un autre tueur? Ou peut-être Fye l'avait vraiment assassiné? C'est pourquoi dans la nuit, il rejoignit le High Park. Il avait envie d'un peu de repos. Alors qu'il regardait son reflet rapidement dans une le miroir minéral d'une fontaine du parc, il avait sortit une phrase qui pourrait être un début d'indices. Or par les temps qui courent il est difficile de croire une personne sur parole. Cette phrase était :

Je n'ai rien fait cette fois-ci.

Après cela il s'en retournait au banc où il s'était déjà installé. Il n'avait pas vu, mais il avait très bien entendu que quelqu'un approchait. Il ne craignait pas cette personne qui s'installa à côté de lui sur ce banc de fer noir. Il posa le journal à côté de lui et regarda qui était ce jeune homme. Apparemment vêtu comme un gens ordinaire, d'une couleur blonde pour les cheveux et de plus petite taille que lui. Il n'avait rien d'effrayant. Mais Fye restait tout de même sur ses gardes.

« Excusez moi si je vous ai dérangé monsieur ! Ce n'était pas mon intention, je ne vous avez pas remarqué...»

Sur ces paroles du jeune garçon qui venait d'arriver et de s'affaler sur le banc, Fye se contenta de lui sourire. Bien sûr que ça ne le dérangeait pas. Et puis il n'avait pas besoin d'une telle politesse non plus.

«Ce banc n'est pas mien. Vous ne me dérangez pas.»

Cette personne paraissait gentille et Fye aimerait fréquenter des gens. C'était pour lui le moment idéal pour parler un peu. Et pourquoi pas de ce meurtre?

«Tout le monde est au courant pour cet homme. Pauvre homme. Je n'aurai pas aimé être à sa place».

Toujours ce sourire. A croire qu'il n'avait aucun cœur. C'était comme si le monde pouvait être anéantit, ça ne l'aurait pas dérangé. Mais pourtant, il n'était en rien sans cœur. Il n'avait juste pas le même cœur qu'un humain. Il était possible qu'un humain ait des sentiments différents des créatures. Aussi Fye ne citerait jamais sa vraie nature à ce garçon qui était là. Il ne savait pas vraiment quoi lui dire également.

«Belle journée n'est-ce pas?»

Sa voix était aussi douce qu'une brise. Il n'avait pas de violence en lui. Alors qui aurait pu tuer l'homme de la même façon que Fye tuerait sa victime si ce n'est pas déjà lui même? Il y avait-il un troisième acteur dans ce chapitre mortel?

C'était ce que la police s'efforçait à trouver. Il n'ont aucun indice. Pas de pièces à convictions, aucun éléments, même le plus petit qui puisse exister, se montraient au grand jour. Malheureusement, un témoin avait vu l'homme accompagner Fye. Il ne savait pas où ils étaient allés, mais il avait réussit à donner une petite description de l'incube. Bien évidemment, il n'avait pas su qu'il n'était pas humain alors il a juste annoncé à la police:

Un grand homme blond, de fine silhouette.

Des grands hommes blonds de fine silhouette il ne devait pas en courir dans toutes les rues. Aussitôt cette information prise en compte, la police plaça en garde à vue tous les hommes de fines taille, grand et blond afin de les interroger sur les faits. Il ne restait plus que du temps pour Fye s'il souhaite éviter la police. A nouveau il regarda le petit blond. Il ne savait pas pourquoi, il doutait de l'identité du garçon. Ça se voyait dans ses yeux. Mais il avait préféré ne rien dire sur ce sujet. Il ne souhaitait pas se mêler de ce qui ne le regardait pas. Il savait pour lui-même qu'il avait une mauvaise intention envers les humains. En rien cela ne le dérangeait. Mais il savait qu'en faisant cela, il ne gagnerait rien. Il commença à préparer le charme au cas où le garçon le soupçonnerait....

« The cops will never catch us ! »

L'homme lui sourit, ne semblant pas gêné par l'arrivée soudaine du blondinet qui, haletant, avait tenter quelques excuses par rapport à son comportement des plus impoli. Du moins il l'était à ses yeux. Le grand inconnu répondit de plus simple façon du monde, toujours se même rictus accroché au visage, dénonçant une simple vérité. Après tout, il est vrai que ces bancs étaient fait pour se reposer et non pas pour s'y assoir convenablement mais s'y avachir de sorte à être installé de la plus agréable des façon. Mais il faut dire que cela n'était pas dans les habitudes de Luccio, lui qui était un noble, il n'avait pas l'habitude de se mettre si à l'aise en société. Enfin bon... L'homme baissa son journal avant de reprendre de nouveau la parole.

«Tout le monde est au courant pour cet homme. Pauvre homme. Je n'aurai pas aimé être à sa place.»

Luccio hocha la tête, accompagnant son mouvement d'un petit «hm», ne prenant pas la peine de regarder l'homme, préférant attarder son regard sur le paysage qui s'offrait à lui. Le sujet ne l'enchantai guère sachant que, comme un enfant gâté qui n'obtient pas ce qu'il veut, cela l'énervait haut point de ne pas arriver à trouver ne serait-ce qu'une seule piste convenable sur ce meurtre, lui qui avait pourtant tant de facilité à dénicher des informations. Les affaires qui agitaient Londres semblaient vraiment plus compliquées à résoudre que celle qu'on pouvait trouver un peu partout en France. A moins que les anglais soient juste bien moins informés sur les crimes de leur pays ? Question intéressante, néanmoins Luccio commençait tout de même à douter de son talent de détective. C'est alors qu'une voix douce le sortie de ses pensées.

«Belle journée n'est-ce pas?»

Le blondinet tourna la tête vers son interlocuteur avant d'esquisser un sourire.

« Vous avez tout à fait raison. Pour une fois qu'il fait beau et que le temps est beau...C'est si rare ici.» Dit-il avec son drôle d'accent.

Son sourire disparue aussi vite qu'il était venu avant qu'il laisse à nouveau vagabonder son regard sur l'étendu verte que constitué Hight park. Oh ! Étrange ! Deux tache noir venait déformer le paysage. Des policier ? Luccio ne fut pas vraiment étonner d'en trouver ici avec l'affaire qui s'était passé non loin d'ici hier soir, mais les deux homme de loi semblaient interroger un badeau. Luccio fixa ses pupilles bleutés sur les trois hommes, se demandant bien ce qu'il pouvait se dire. C'ets dans ce genre de moment que le jeune garçon aurait aimer avoir une ouïe fine. Cela devait être tellement pratique ! Mais ce n'était que fiction. Seule les chimères des livre, tel Dracula, pouvaient avoir ce don, pas un pauvre petit mortel. Un cours instant, Luccio se perdit dans ses pensées, se demandant bien comment était la vie d'une créature; Mais des mouvement au loin le fit revenir à la réalité. L'homme que les deux policier avaient interrogeait pointé le camarade de banc du petit marquis, chose qui l'étonna au plus haut point. Les deux Bobbies s'approchèrent d'un pas rapide vers les deux jeune gens avant que Luccio ne se retourne vers l'homme, lui lançant un regard interrogateur.

Que pouvaient donc bien vouloir ces deux policier à un homme comme lui ? Surtout à une personne si peu robuste... Dans tout les cas, si cet homme était impliqué en quoi que ce soit dans cette affaire, il n'aurait pas était une bonne chose pour Luccio qu'ils le trouve avec lui. Il fallait donc partir, ou alors se cacher dans la foule de sorte à ce que les deux «justiciers» ne le voient plus. Ne les voient plus... Hé oui, il ne valait mieux pas que l'inconnu souriant tombe entre les main de ces policiers si Luccio voulait pouvoir lui soutirer quelques information. C'est pourquoi il se leva avant de prononcer ces quelques mots:

« Monsieur, Je crois qu'il vaut mieux partir ! »

Si l'homme ne comprenait pas pourquoi Luccio voulait lui aussi partir, il lui suffirait de faire croire qu'il n'était qu'un sale gosse des rue, un voleur en somme.

Il s'avança rapidement, trottinant, avant de se retourner pour vérifier que l'homme lui suivait, ce qui n'était pas le cas.

«Vous venez ?»

Le blondinet jeta un dernier coup d'œil vers les policiers qui peinaient à avancer vers eux, poussant la foule qui entravaient leur chemin. Le marquis laissa échapper un rire cette vue plutôt comique. Visiblement les agent de l'ordre n'étaient pas près de les attraper.

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The Man With No Name

Fye baissa sa garde aussitôt que les policiers arrivaient. Il savait trop bien qu'il était recherché. Le petit blond avec qui il discutait était parti à l'avant, Fye le suivait à grandes enjambées, il le rattrapait vite. Il n'était en aucun point effrayé mais plutôt intéressé par la situation. Il savait qu'il n'avait pas tué cet homme. Quelqu'un d'autre avait dû le faire mais qui? Peut-être un homme qui lui ressemble. Et il y avait un souci : le témoin avait omi un détail. Il n'avait pas expliqué que ce grand blond de fine silhouette par exemple avait un visage d'ange ou bien de couleur pâlichonne ou bien portant un grand manteau. Les policiers mettraient du temps pour trouver un type comme celui décrit. Revenons-en à nos personnages.

Fye et le petit blond s'étaient un moment arrêtés pour regarder les deux flics bloqués par la foules. Maintenant il savait qu'eux deux allaient être recherché pour être louches et avoir fuit l'ordre. Marchant longuement, ils se retrouvent à nouveau à l'High Park. A leur point de retour précisément. Car grand il était ce park. Il leur avait été simple de semer les policiers. Aussi Fye cessa tout mouvement de défense. Il pensait que le petit blond était inoffensif.

- Comment vous appelez-vous jeune homme ?

Il était curieux de savoir le nom de celui avec qui il allait peut-être avoir d'autres contacts amicaux tels que celui de ce jour. Et juste avant cela, avant la réponse du jeune garçon, un autre homme passait devant eux. Un grand blond. Fine silhouette. Fye fut interloqué. Il se posait les questions concernant le meurtre la veille. Les policiers qui passaient à côté de cet homme ne semblaient pas le voir. Alors Fye se leva pour aller parler à l'homme qui disparu avant même qu'il ait eu le temps de se lever.

- Qui était-ce ?

Puis l'homme se retrouvait derrière Fye.

- Ah monsieur. Ne recommencez pas un coup pareil je vous prie.

L'homme ne répondit rien. Et seuls les policiers ne pouvaient le remarquer. Il était grand un peu comme Fye et portait un grand chapeau. Sans doute de ce fait que la blondeur de ses cheveux courts était masquée. Il s'approcha de Fye pour lui dire quelque chose dans un anglais parfait.

- I have no name. I have no identity. Killing is the answer. Give me your life.

Fye n'avait pas tout compris. Il avait sentit qu'il était face au véritable coupable. Puis cet homme disparu sec. Fye souriait pour ne pas montrer une légère frayeur. Il faisait semblant de ne pas avoir réellement compris le deal.
L'homme savait également que Fye était déjà un meurtrier. Pourquoi alors faisait-il cela? Pour laisser Fye se faire accuser et obtenir une peine de réclusion ou pire, de mort? Encore une question à laquelle il faut trouver une réponse.